UFR de Sciences Economiques - Université Paris 1 Panthéon ...

15 oct. 2015 ... modalités d'examen du dispositif de gouvernance et d'évaluation .... les
méthodes employées pour les calculs d'actualisation (cf. articles 203 à 210 de ....
Risque de blanchiment des capitaux et de financement du terrorisme ..... métier,
cohérence globale en cas de plans multiples), responsabilités (nom, ...

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Relevé de décisions du conseil d'UFR 02 du 23 mai 2008
o Compte-rendus du conseil du 18 mars dernier, o Informations diverses :
o Avancement du quadriennal,
o Résultat des élections aux conseils centraux,
o Mise en ligne des mémoires de m2r,
o Projet Campus.
o Conventions ENSC-Magistère, ENSU-éco socio, Convention Allianza
Estrategica,
o Problème des noms de diplômes, proposition de création de DU
temporaires,
o Refonte des spécialités TQ2E et IDEEM dans un M2 MoSEF,
o Premières propositions concernant la licence,
o Calendrier de travail en vue du quadriennal,
o Questions diverses.
Étaient présents :
Antoine d'Autume
Jean-Claude Berthélemy
El Hadji Coundoul
Jezabel Couppey-Soubeyran
Jean Dellemotte
Pierre Kopp
Roland Lantner
Pierre-Charles Pradier
Katheline Schubert
Carine Staropoli
Sarah Zerbib
Représentés :
Delphine Brochard (pouvoir à Carine Staropoli)
François Gardes (pouvoir à JCB)
Philippe Martin (pouvoir à Katheline Schubert)
Bertrand Wignolle (pouvoir à Antoine d'Autume)
Julie Valentin (pouvoir à Jean Dellemotte ) Invités :
Absents.
o Informations diverses :
o Avancement du quadriennal,
o Projet Campus.
Le conseil démarre par un compte-rendu du conseil pédagogique du 23 mai,
rappelant les 3 points à l'ordre du jour : plan campus, plan licence,
contrat quadriennal. Pierre Kopp et Jean-Claude Berthélemy interviennent
pour rappeler les raisons fortes qui s'opposent à la migration des
économistes : celle-ci n'apparaît donc possible que si des synergies de
recherche ou des complémentarités pédagogiques décisives se manifestent.
Antoine d'Autume donne des éléments de calendrier : réponse du ministère
avant la fin mai, CA de l'EEP (qui hésite entre le campus Condorcet et le
projet PCU auquel l'École contribue) le 20 juin. On aura donc de nouveaux
éléments dans le courant du mois qui vient.
o Plan licence,
Le directeur présente le résultat des consultation opérées, entre autres,
par la commission pédagogique spécifique : l'idée qu'il faille plus faire
travailler les étudiants en L semble unanimement partagée ! Jezabel Couppey
considère que le blocage n'a pas permis de mettre en ?uvre les propositions
de Claude Bressand, et qu'il faut donc reconduire l'expérience avec plus de
moyens. Antoine d'Autume rappelle que des ajustements ont déjà été opérés
au fur et à mesure de la mise en place, on peut donc être confiant sur le
résultat car le démarrage était très prometteur. Consulté sur l'enveloppe
de moyens disponible dans le cadre du plan licence, PCP indique que les
moyens seront prioritairement consacrés à remettre à niveau les UFR qui
n'ont pas assez d'enseignement des langues et du C2I, et que pour le reste
il vaut mieux mettre des priorités sur nos projets. De ce point de vue nos
priorités sont clairement : 1. la mobilisation des étudiants en L avec a.
plus de tuteurs, b. éventuellement des HC ; 2. un dispositif spécifique au
L3 (cf. infra).
o (retour sur l')Avancement du quadriennal,
. Licence
Jean-Claude Berthélemy présente le problème de l'enseignement de l'économie
dans le secondaire (le relativisme), et s'inquiète de la reproduction de ce
même problème en licence. Il plaide pour une révision du programme du L.
PCP indique combien les étudiants sentent déjà le fossé entre lycée et
l'université (pas seulement du point de vue des conditions d'encadrement,
car c'est aussi le contenu disciplinaire qui est en jeu) : c'est d'ailleurs
une cause d'échec des étudiants. Un débat s'engage dont les termes font
apparaître que l'ordre d'exposition des matières aux étudiants n'est peut-
être pas optimal, ainsi la comptabilité nationale pourrait être enseignée
après la comptabilité privée. Jean Dellemotte pose la question, de l'opportunité de restaurer un cours de
méthodologie : cette interrogation suscite un nouveau débat sur le sens
même du terme méthodologie. Jean-Claude Berthélemy prend l'exemple de
l'opération « la main à la pâte » en primaire : quand on permet aux enfants
de faire l'expérience (au lieu de leur raconter) on constate qu'ils
rédigent mieux (et comprennent mieux) le sujet étudié. PCP indique que
c'était l'essence du projet tutoré que de permettre aux étudiants de
« mettre la main à la pâte », raison pour laquelle cet enseignement tient
une place éminente dans les maquettes. En revanche, pour ce qui est de
l'écriture, de la dissertation ou du commentaire de texte, il n'est pas
d'autre école que le travail, mais la difficulté des corrections pose la
question des moyens. Antoine d'Autume, après avoir constaté l'inadaptation
des cours de méthodologie « à l'ancienne », insiste sur la nécessité de se
mettre d'accord sur des contenus pensés sur les trois années de la licence.
Il rejoint ainsi Pierre Kopp qui, après avoir qualifié l'écart entre classe
de terminale et L1 de « contrat non tenu », constate qu'on ne peut pour
l'instant faire autre chose qu'une licence disciplinaire, il faut donc en
penser rigoureusement l'étagement disciplinaire. Le débat se poursuit sur les méthodes de l'enseignement : Pierre Kopp
décrit une culture d'opposition spécifique à Paris 1 et propose de ne pas
confier les cours à ceux qui font profession de dégoûter les étudiants,
mais à ceux qui sont passionnés. Jézabel invite le conseil à réfléchir sur
les modalités de faire travailler les étudiants : exposés, dossiers,
mémoires, revues de presse, questions d'actualité... Autant d'exercices
sont déjà pratiqués en IGE, affirme Antoine d'Autume. Carine Staropoli
propose qu'on s'intéresse aux jeux de marché et décrit son expérience en
régime aménagé. Jean-Claude Berthélemy revient sur l'organisation des
maquettes de L pour dire que la logique veut qu'on assimile les bases avant
de faire la critique. PCP propose en conclusion, puisqu'il paraît difficile
refaire les programmes en un mois, de fixer des objectifs de travail et de
méthodes en L, en particulier pour revivifier les TD et le contrôle
continu. Toutefois le conseil est unanime à souhaiter une remise en ordre des
maquettes de L et un toilettage des dénominations de cours : Pierre Kopp
montre en particulier qu'il est désastreux de doublonner les noms des cours
(« Théorie de la croissance et des crises » en L2 et « Macro : croissance »
en L3, par ex.). Le conseil penche pour l'organisation dans le mois à venir
d'une série de réunions transversales par groupes de disciplines : Macro-
micro, économie appliquée, histoire, maths-stats, et enfin une commission
générale (ordre des enseignements, méthodes de travail). Les commissions
remettraient le résultat de leur travail au conseil d'UFR du 8 juillet. . Master
Pierre Kopp propose au conseil une maquette de master 'économie appliquée'.
JCB pose la question du cylindrage des mentions et du dédoublement : peut-
on envisager un tronc commun en M1S1 ? des cours d'ouverture en M1S2 ? En
tous cas, il apparaît urgent de diminuer le nombre de cours de M. Antoine d'Autume se félicite que l'exemple d'ETE soit imité. Il rappelle
que le M1 actuel est mal structuré. Après un débat, il apparaît que les
travaux sur les maquettes de master seront pilotés par la réunion des
responsables de mentions convoquée le 2 juin, en vue du conseil d'UFR du 8
juillet. La question des moyens sera peut-être tranchée après, dans la
mesure où on peut demander à l'AERES l'habilitation de formations qu'on ne
sait pas comment financer. Pierre Kopp indique toutefois combien un cadrage
budgétaire préalable permettrait de simplifier le travail.
Les items suivants pourraient relever du quadriennal, mais le directeur
propose de les avancer dès que possible pour des raisons d'opportunité. o Refonte des spécialités TQ2E et IDEEM dans un M2 MoSEF (Annexe I),
Le projet porté par Patrick Sevestre permet de rationaliser l'offre de
formation de la mention EQ : les deux spécialités n'avaient pas bien trouvé
leur public. Au contraire, le projet nouveau articule très clairement un
socle très solide en méthodes quantitatives avec des cours de
spécialisation correspondant tout à la fois aux souhaits des étudiants, à
des spécialités professionnelles demandées par les entreprises, et
éventuellement à nos besoins propres de formation d'économètres.
o Un cours d'économétrie en L3 (Annexe II),
Le statut de l'économétrie en licence était un problème depuis de longues
années, mais la refonte des maquettes en 2005 l'avait rendu plus aigu : les
étudiants de la licence d'économie n'ont pas les moyens de suivre les cours
d'économétrie « avancés » de M1, et le cours de microinformatique de L3S1
ne fonctionne pas bien non plus avec les étudiants de la L3 économie. Tous
les économètres se sont donc réunis pour proposer un projet ambitieux en
termes de moyens, certes, mais surtout d'objectif : permettre à tous nos
étudiants de s'approprier les méthodes de base de l'économétrie (non
seulement les moindres carrés, mais aussi les logiciels courants) grâce à
un programme articulant cours magistral, TD de théorie et TP de 4 heures
tous les 15 jours. Au second semestre, il est proposé d'adosser le mémoire
au TP d'économétrie.
Cette dernière option est la plus discutée. Le conseil propose de laisser
les chargés de TP proposer des sujets, sans créer une obligation pour les
étudiants d'insérer une dimension économétrique dans leur mémoire : Roland
Lantner craint en effet la fuite générale des étudiants ; et il est suivi
en cela par une grande partie du conseil. Sarah Zerbib veut s'ass