V0.00--Préface

... pulposus) est un noyau gélatineux sous pression, déformable mais
incompressible. .... Examen physique en position couchée et debout, à la
recherche d'un ...

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CHAP 6 Mises en Scènes (Quotidiennes)
V0.00--Préface
V0.10--Chap 6 intro (histoire de la Clinique)
V0.10.05--Résumé du cas clinique
En intro, une description du modernisme permettra d'évaluer son
échéance qu'est l'écologie. Ce modernisme a été préfiguré par
l'Hermétisme dont il subit encore l'empreinte (cette empreinte est la
psychanalyse). Deuxièmement l'écologie qui est un art de la mémoire
retrouve cet art traditionnel en l'animation sociale moderne du
Pluriel Analytique. Une clinique collective est alors appelée à l'examen qui procède
par une théorie psychique qui, découvrant un système s'applique de
mon point de vue (dicté par mes origines, mon temps, monhistoire) à
une clinique du christianisme. Troisièmement, une clinique individuelle s'ajoutant du fait que la
théorie impartie est psychique, elle fait cas d'une déconvention
instrumentalisée par une dissidence qui se traduit par un fantasme.
Ce bref résumé bénéficie d'un peu plus de détail, particulièrement
concernant son dernier point : La clinique individuelle est une nécessité -
parce que l'observation psychanalytique engage son observateur. Freud basa
en grande partie sa théorie sur ses propres rêves & symptômes et suivant ce
modèle, pour une analyse de la psychologie collective, l'analyse doit
intégrer la chronique sociale de sa vie quotidienne. Elle rappelle donc
qu'elle à lieu dans un état de convention. Cette convention a été
déchiffrée au chap.3 qui l'a révélée être convention de mensonge. Son état
est instrumenté par une législation traduite par un refoulement de la
psychologie. La clinique qui en résulte est opposée par une dissidence qui
l'identifie par des écrits et des mesures. V0.10.10--préfiguration hermétique
Ce résumé posé, je vais passer au texte intégral. Néanmoins eu égard la
difficulté du thème et du sujet ainsi que parfois de mon style qui le
réfléchit, j'introduirai les étapes que je viens de mentionner par un autre
résumé, propre à chacune.
La difficulté à laquelle je fais allusion relève de ce qui est particulier
à l'objectivation du psychisme. Le psychisme, dirons-nous, est cet espace
qui laisse paraître l'ombre de l'observateur - ce qui n'est pas le cas par
exemple dans l'espace cosmique où sauf circonstance exceptionnelle
d'éclipse, la terre, par exemple ne se voit pas lorsqu'elle observe la
lune. Dans l'espace psychique chaque objet est au contraire devenu image et
reflet son observateur. Cette vertu est une composante de la conscience qui
est aussi la réflexion de la raison - mais cette sorte de saturation
d'ombrage, parfois avantageuse se paye d'un calcul complexe. C'est ce que
l'analyse traduit en procédés de chiffrage [C1-] puis déchiffrage [C2-]. Dans notre état actuel cet espace psychique, bien affirmé depuis
l'Antiquité, a été abstrait par le succès de la Renaissance ; précédemment
il était déclaré et pratiquement manifesté par sa représentation qui avait
pris le nom d'hermétisme. On se souvient aujourd'hui de l'Hermétisme en
ayant réduit son sens, à quelque chose qui est clôt et que l'on figure ne
rien laisser passer d'air. C'est une façon de se souvenir que l'Hermétisme
était la représentation qui avait confiné en soi le psychisme.$ Lorsque
l'Inquisition interdit l'Hermétisme et mit fin à sa tradition, la dimension
du psychisme devint attachée à son souvenir, rangé dans la magie et les
superstitions.
Il fut alors avantageux de pouvoir observer 'sans complexe' - sans se
trouver gêné par sa propre présence, ombre ou influence. On déclara cette
observation "objective" ; mais cette réalité n'est pourtant pas réelle - un
jour l'écologie nous rappelle que nous avons de l'influence sur ce que nous
observons, que nous l'altérons et que la pollution est un sinistre rappel
de l'ombre de nous-même. La science objective se prive de ce qui vient avec
la science - ce qu'on appelle con-science, coïncidant en la circonstance
avec la pudeur de l'être. Nous savons bien que jusqu'aux temps modernes
elle nous a porté jusqu'à vérifier l'adage « une science sans conscience
est ruine de l'âme.» Mais ce que l'on voit en l'occurrence, c'est une ruine de l'environnement.
Avant qu'on en approfondisse le détail : ruine de l'ADN, de sa diversité,
de la reproduction et de la sexualité usuelles qu'hormones et génétique
mettent au pas. Ceci appelle à déclarer suffisante la phase de refoulement
de l'hermétisme et d'une observation déchargée de conscience ou
d'observation de soi. La première phase matérialiste de science sans
conscience a porté ses fruits et nous sommes capables aujourd'hui de
naviguer physiquement dans l'espace - du moins dans l'espace cosmique. Le
moment qui arrive sans doute est celui d'habiter psychiquement cet espace
conquis puis, au-delà, ceux qui attendent notre conscience. V0.10.10 10--Modernisme
Si deux choses sont liées et si nous ignorons l'une d'entre elles, pour le
connaître cette inconnue on peut se servir de l'autre. Pour savoir ce
qu'est l'Hermétisme nous pouvons interroger le modernisme. Mais nous sommes
toute de suite interrompus. Il n'est pas plus facile de savoir ce que nous
sommes au présent que de connaître notre passé refoulé. Pourtant au moment
où l'histoire se transforme d'elle-même ces barrages craquèlent. En effet,
à moins que je ne me sois lourdement trompé, il y a tout lieu de penser que
l'article Akhnaton-Moïse-?dipe que le chapitre précédent a étudié pour
montrer que son statut indécidable était à lui seul intégral et suffisant
pour détenir un second statut lequel tout à fait différent en logique. Il
s'agit du statut de scène primitive qu'AMO est en ce cas "certainement". Une 'scène primitive' est un concept psychanalytique qui désigne une chose
de cet ordre ; elle est indécidable pour ce qui en découle, indifféremment
vraie ou fausse, mais certainement cause de son histoire. C'est le cas
d'Amarna et de l'expérience atonienne. Les spécialistes ont beaucoup
discuté pour savoir si Akhnaton était un prophète et l'atonisme un
monothéisme. Mais leur débat est sans réponse tandis que l'épisode se
présente plutôt comme un degré zéro et le zéro n'est rien. Son statut le
tient cependant fondamental au départ d'un chiffrage. Il illustre le statut
d'une 'scène primitive'.
A ce concept d'origine une conséquence est caractéristique : une 'scène
primitive' initialise une histoire et détermine un Inconscient -
troisièmement elle se révèle et, en ce cas, c'est à la fin du cycle qu'elle
a engagé. Une fois qu'elle est 'retrouvée' un développement, une
maturation, une civilisation en l'occurrence est arrivée à son terme. Le fait que le passage du temps présent retrouve Amarna et son chiffrage a
tout lieu d'indiquer une caractéristique décisive de la modernité. Elle
peut être ce qui suffit à la définir. Sans trop forcer le vocabulaire on
pourra trouver illustratif de désigner ce que signifie "moderne" par une
échéance de clôture topologique de la scène amarnienne. Plus prosaïquement
on aura dit « emballez, c'est pesé!» l'une ou l'autre version permettant
d'imaginer ce qu'il y a d'invisible dans le sac ou dans le champ de la
modernité, à savoir l' hermétisme. Mais une clôture, voire un sac, surtout s'il doit être hermétique à
l'hermétisme.. n'est pas forcément réussi à tout coup. Il est possible
qu'il faille s'y prendre à quelques fois si jamais on le réussit un jour. V0.10.10 10.10--Science - masquée
Ainsi trouve-ton ces formes de tâtonnements mais également d'apprentissage
avec la science. Si jamais entre la scène primitive et l'ère moderne
l'hermétisme a marcotté - on emploie ce terme pouor désigner des racines
qui courent en surface du sol apparaissant, disparaissant, apparaissant et
ainsi de suite.. - on retiendra avec lui, s'il est issu d'Amarna, un accent
porté sur le soleil. La religion solaire d'Akhnaton, dit-on était
'naturelle' avant qu'abstraite, monothéistique - et l'Hermétisme semblait
en savoir quelque peu sur le soleil. Voici ce qu'on trouve dans les textes
hermétiques, c'est à dire bien avant l'héliocentrisme attribué à Copernic : « ..Car le Soleil est établi au milieu du monde, portant le monde comme
une couronne, et, tel un bon conducteur, il a assuré l'équilibre du char du
monde et se l'est attaché à lui-même de peur qu'il ne soit emporté en une
course désordonnée. Les rênes sont la vie, l'âme, le souffle, l'immortalité
et la génération. Il a donc un peu lâché les rênes pour que le monde puisse
mener sa course, non pas loin de lui, mais s'il faut dire le vrai, avec
lui.. » et plus loin « tout au tour du Soleil gravitent les huit sphères
etc.. » Il s'agit d'un enseignement donné au roi Ammon par Hermès
Trismégiste ; le texte date du début du Christianisme et prétendument
avant. Cependant en popularisant cette conception planétaire, la
Renaissance répudia au contraire le discours qui depuis des siècles n'avait
cessé d'en faire état - au point qu'aujourd'hui encore bon nombre de nous
croyons que l'idée de la terre au centre du monde était la seule avant
Copernic. La science aura donc montré le caractère complexe de l'établissement de
ses connaissances premières ou naturelles et - même si l'affaire est
discutée - car s'il est vrai que l'indécidable est de règle à former le
principe de la vérité - on trouvera que le plus réputé rationaliste aura
été à la tête de ce qu'on appellera en opposition 'ésotérisme'. Il s'agit
de Renée Descartes, fondat