Nous Attendons Votre Réveil - Free

... à propos d'une de ces conférences a été arrêté et détenu plusieurs heures. .....
matérialiste et mécanique d'agir de ces instincts chez les Juifs persécutés de la
.... le Juif Lombroso qui, non content d'établir des relations aberrantes entre le
...... pilleraient les vivants par l'intermédiaire de leurs fluides émis par le système
 ...

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S E C H E R E S S E La sécheresse est considérée comme la plus terrible des catastrophes car
elle met du temps avant de se faire remarquer, mais quand elle est
installée, elle dure si longtemps qu'on croit que le désert a toujours été
là. Quant à elle, l'inondation est très spectaculaire mais éphémère, alors que
la sécheresse s'introduit insidieusement, s'annonçant par une canicule
comme celle de 2003 ou de 1976.
Depuis, elle s'étend partout, et tandis que l'inondation glisse sur le sol
asséché comme sur les plumes de l'oiseau, sans modifier sensiblement le
niveau des nappes souterraines, la sécheresse pénètre profondément dans la
terre de manière irréversible. En apparence, le paysage ne change pas d'une année à l'autre, mais
l'observateur conscient du problème (il est rare) ressent la modification
qui s'opère dans les règnes qui souffrent de la soif.
Où vont les animaux quand leur point d'eau est à sec ? Ils meurent, et de
nombreuses espèces végétales les suivent, pendant que l'homme inconscient
se réjouit du soleil radieux et guette le moindre nuage comme une calamité. Dans les faits, depuis quelques années, il est démontré qu'une sécheresse
générale s'étend partout sur la terre, de l'Asie jusqu'au c?ur des
campagnes de France, et venant du sud, un risque de désertification touche
l'Espagne et le Portugal. Même la luxuriante Amazonie est atteinte, sans
parler de l'Afrique où le phénomène était le plus alarmant. Mais à présent,
des régions entières de la Chine, du sud est asiatique, Afghanistan, Iran
sont touchées, avec pour conséquence la disparition des troupeaux et la
migration de millions de personnes.
Les médias ne parlent que des déluges d'eau, mais pas de la sécheresse
envahissante. Le Lingâ Purânâ, texte apocalyptique hindou, dit : « Pendant le Kali Yuga
(l'âge noir) le dieu des nuages sera incohérent dans la distribution des
pluies ».
Comme la sécheresse est la pire des catastrophes puisqu'à terme elle amène
la mort totale, c'est aussi la moins médiatisée , pour des raisons
politiques. Ainsi, en réponse à la situation critique dans de nombreux
départements français durant l'année 2005, le supermenteur , qui lui ne
manque pas d'air a déclaré : « Notre pays ne manque pas d'eau » !
Ce mensonge est fondé puisqu'il y de l'eau en sous sol, et qu'on peut
arroser les cultures industrielles en allant pomper en profondeur - ce qui
fera illusion pendant un moment. Bien entendu, la disparition des arbres,
des plantes et des animaux sauvages n'est pas un sujet de préoccupation. Le premier responsable de l'occultation de la perturbation climatique c'est
monsieur tout le monde. Depuis cinquante ans, cet éternel touriste veut
vivre sous un soleil perpétuel. Alors, puisque massivement, l'humanité
civilisée n'en veut plus, la pluie ne tombe plus normalement. Les signes
objectifs de la perturbation du climat peuvent être énumérés, et les
technocrates écolos ne se privent pas d'incriminer « el nino » ou un autre
mauvais génie. Cela évite de réfléchir sur les causes inexorables de la
chaotisation dans l'âge noir. Les professeurs Maboule rivalisent de solutions scientifiques et
alternatives pour irriguer le désert futur qui remplacera nos vertes
prairies.
En consultant leurs théories, on constate que le fantasme d'un beau temps
immuable annule l'inquiétude envers la sécheresse. On ne trouve quasiment
aucun savant ou écologiste qui déplore sincèrement la destruction de la
nature opérée par la désertification. Cette sécheresse du c?ur nous en
apprend beaucoup sur le jugement qui va s'abattre sur l'humanité sous
formes de cataclysmes. « La sécheresse, et alors ? Il y a de l'eau en dessous ! » Voilà le
consensus entre politiciens, scientifiques et écolos. C'est le discours de
la cruauté matérialiste, le mépris souverain pour la nature vivante et ses
créatures visibles et invisibles.
On lit dans des écrits écologistes : « Tant qu'il y aura des réserves d'eau
sous la terre, on pourra malgré tout continuer à arroser. Certes le maïs
boit beaucoup, mais il faut bien en produire pour alimenter les élevages de
poulets et de canards ». Voilà le raisonnement. Tant que les amis de la
nature pourront manger du canard nourri aux graines, la sécheresse on s'en
fout.
Et les bulletins de météo s'attristent lorsqu'un nuage risque de faire un
peu d'ombre sur un département français pourtant soumis à des restrictions
de consommation d'eau. D'ailleurs, pour rassurer la France citadine, le
commentateur de la météo s'empresse d'ajouter que le temps maussade ne va
pas durer, mais que le soleil va revenir ! On est en pleine propagande
soviétique. Alors, puisque l'être humain civilisé, cette créature décadente de l'âge
noir, ne veut plus entendre parler de la pluie, il fera beau demain.
J.L.
L'Â G E N O I R Les Signes Précurseurs selon le Lingâ Purânâ
Le dieu des nuages sera incohérent dans la distribution des pluies...
La période qui précède le cataclysme qui doit détruire l'espèce actuelle
des humains est marquée par des désordres qui sont les signes annonciateurs
de sa fin. Shivâ (le Destructeur) ne peut détruire que les sociétés qui ont
transgressé la loi naturelle.
Selon la théorie des cycles qui règlent l'évolution du monde, nous sommes
dans le Kali Yugâ, l'âge des conflits, des guerres, des génocides, des
malversations, des systèmes philosophiques et sociaux aberrants, du
développement maléfique du savoir qui tombe dans des mains irresponsables.
Pendant le Kali Yugâ, les races, les castes se mélangent. Tout tend à se
niveler et le nivellement, dans tous les domaines, est le prélude de la
mort. Lorsqu'on s'enfonce dans le Kali Yugâ ce processus s'accélère. Le
phénomène de l'accélération est l'un des signes de la catastrophe
approchante. Les Purânâ décrivent les signes qui caractérisent le
crépuscule du Kali Yugâ.
D'après le Lingâ Purânâ : « Ce sont les plus bas instincts qui stimulent
les hommes du Kali Yugâ. Ils choisissent de préférence les idées fausses.
Ils n'hésitent pas à persécuter les sages. L'envie les tourmente. La
négligence, la maladie, la faim, la peur se répandent. Il y aura de graves
sécheresses. Les différentes régions des pays s'opposent les unes aux
autres.
Les livres sacrés ne sont plus respectés. Les hommes seront sans morale,
irritables et sectaires. Dans l'âge de Kali se répandent de fausses
doctrines et des écrits trompeurs.
Les gens ont peur car ils négligent les règles enseignées par les sages et
n'accomplissent plus correctement les rites. Beaucoup périront. Le nombre
des princes et des agriculteurs décline graduellement. Les prolétaires
veulent s'attribuer le pouvoir royal et partager le savoir, les repas et
les lits des anciens princes. La plupart des nouveaux chefs est d'origine
prolétaire. Ils pourchasseront les prêtres et les tenants du savoir.
On tuera les foetus dans le ventre de leur mère et on assassinera les
héros. Les Shudrâ (caste des producteurs) prétendront se comporter comme
des Brahmanes et les prêtres comme des prolétaires. Des voleurs deviendront
des rois, les rois seront des voleurs. Nombreuses seront les femmes qui
auront des rapports avec plusieurs hommes.
La stabilité et l'équilibre des quatre classes de la société et des quatre
âges de la vie disparaîtront. La terre produira beaucoup dans certains
lieux et trop peu dans d'autres. Les dirigeants confisqueront la propriété.
Ils cesseront de protéger le peuple.
Des hommes vils qui auront acquis un certain savoir (sans avoir les vertus
nécessaires à son usage) seront honorés comme des sages.
Des hommes qui ne possèdent pas les vertus des guerriers deviennent rois.
Des savants seront au service d'hommes médiocres, vaniteux et haineux. Les
prêtres s'aviliront en vendant les sacrements.
Il y aura beaucoup de personnes déplacées, errant d'un pays à un autre. Le
nombre des hommes diminuera, celui des femmes augmentera.
Les bêtes de proie seront plus violentes. Le nombre des vaches diminuera.
Les hommes de bien renonceront à jouer un rôle actif.
De la nourriture déjà cuite sera mise en vente.
Les livres sacrés seront vendus aux coins des rues.
Les jeunes filles feront commerce de leur virginité. Le dieu des nuages
sera incohérent dans la distribution des pluies. Les commerçants feront des
opérations malhonnêtes. Ils seront entourés de faux philosophes
prétentieux. Il y aura beaucoup de mendiants et de sans-travail. Tout le
monde emploiera des mots durs et grossiers. On ne pourra se fier à
personne. Les gens seront envieux. Nul ne voudra réciproquer un service
rendu. La dégradation des vertus et la censure des puritains hypocrites et
moralisateurs caractérisent la période de la fin du Kali. Il n'y aura plus
de rois.
La richesse et les moissons diminueront. Des groupes de bandits
s'organiseront dans les villes et les campagnes.
L'eau manquera et les fruits seront peu abondants. Ceux qui devraient
assurer la protection des citoyens ne le feront pas. Nombreux seront les
voleurs. Les viols seront fréquents. Beaucoup d'individus seront perfides,
lubriques et risque-tout. Ils porteront les cheveux en désordre. Beaucoup
d'enfants naîtront dont l'espérance de vie ne dépasse pas seize ans. Des
aventuriers prendront l'apparence de moines avec la tête rasée et des
vêtements orangés, des chapelets autour du cou. On volera des stocks de
blé. Les voleurs voleront les voleurs. Les gens deviendront inacti