La profondeur de champ en macro - Free
Conique. Chanfrein. bossage. téton. F6. Cylindrique. Lamage. méplat. gorge. F7.
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Comprendre la profondeur de champ Résumé : La profondeur de champ est l'un des paramètres les plus
importants de la photo. Elle est dépendante de bien d'autres facteurs. La
profondeur de champ est la zone dans laquelle l'image est nette. Autrement
dit, c'est la zone nette de part et d'autre de l'endroit précis de la mise
au point. Les facteurs influençant la profondeur de champ.
La focale.
La focale est très importante pour la profondeur de champ. Plus la focale
est longue, plus la profondeur de champ est petite. C'est à dire que plus
on grossi, plus il est difficile de faire la mise au point. A l'inverse,
plus le champs est large, et plus la profondeur de champ est importante. Le diaphragme.
Le diaphragme permet pour un même objectif, de modifier la profondeur de
champ. Plus on ferme le diaphragme, plus la profondeur de champ augmente,
mais plus la lumière diminue... Donc plus il y a de risque de bougé. Il
faut réussir à équilibrer ces deux variables pour obtenir la meilleure
photo possible. Les appareils récents ont souvent un mode "priorité à la
vitesse" et un mode "priorité à la profondeur de champ" La distance de mise au point.
Plus la distance de mise au point diminue, plus la profondeur de champ
diminue. C'est particulièrement problématique avec la photo macro, mais
aussi en portrait rapproché, etc... L'agrandissement final.
La taille d'agrandissement finale est aussi déterminante pour la profondeur
de champ. Le manque de profondeur de champs sera beaucoup plus visible sur
un agrandissement de 1 m de large que sur une photo 10*15. Il faut donc
être plus soigneux lorsque l'on destine une photo à un agrandissement
géant, et par exemple, travailler avec un trepied. Les limites d'amélioration de la profondeur de champ.
Si on vous avez bien suivi jusque maintenant, la profondeur de champ peut
être augmentée par la fermeture du diaphragme. Alors pourquoi les
objectifs, ne ferment ils pas, la plupart du temps, plus que f22 ?
C'est à cause des limitations causées par la nature ondulatoire de la
lumière. Les ondes passant pas un trou dont la largeur est proche de la
longueur d'onde subissent de la diffraction. Donc, lorsque l'on ferme le
diaphragme trop fort, la lumière a tendance à se diriger dans toutes les
directions, ce qui rend la photo plus floue encore. Pour obtenir le maximum
de profondeur de champ, il ne faut donc pas dépasser certaines limites. f16
semble être vraiment le maximum avec un appareil photo argentique standard.
Cette valeur est encore plus petite avec un appareil numérique qui a un
capteur plus petit. Les applications de la compréhension de la profondeur de champ :
la mise au point Hyperfocale.
C'est la distance la plus courte à laquelle on peut régler l'appareil pour
que l'objectif donne une image nette à l'infini.
Pour bénéficier d'une profondeur de champs maximale, depuis l'horizon,
jusqu'au point le plus proche, il faut fermer le diaphragme suffisamment :
par exemple f11, il ne faut pas effectuer la mise au point sur l'infini,
mais sur un point plus proche, de telle manière que la mise au point se
fasse d'un point proche jusqu'au point infini. En règle général, sur les appareils à mise au point manuelle, une échelle
graduée permet de s'affranchir des calculs, en fonction de chaque
diaphragme.
Conclusion :
Pour avoir le maximum de netteté, il est nécessaire de connaître et
d'utiliser la profondeur de champs, ainsi que la distance hyperfocale. De
même, lorsque l'on désire peu de profondeur de champ, en portrait par
exemple, il faut utiliser des petits télés de forte ouverture (1.8 par
exemple) Pour avoir une grande profondeur de champ, pas de secret : grand
angle et diaphragme fermé.
La profondeur de champ en macro Résumé : La macrophotographie pose deux principaux problèmes : elle impose
une diminution de la profondeur de champ avec l'augmentation de
l'agrandissement, et elle fait diminuer la quantité de lumière qui arrive
sur la pellicule. Le cercle de confusion :
Les objectifs, comme tous les objets fabriqués par l'homme ne sont pas
parfaits. Ils ont des défauts. Ainsi, quand on prend en photo un point, il
en résulte une tache sur La pellicule. Le cercle de confusion est la taille
maximale de la tache pour laquelle on considère que la photographie est
nette. Le rapport de reproduction :
C'est le rapport entre la taille de l'objet photographié et la dimension de
sa représentation sur la pellicule. Par exemple : si l'objet photographié
mesure 10 cm et que son image mesure 1 cm sur la pellicule, le rapport de
reproduction sera de 1/10 = 0,1. L'image d'un objet qui mesure 1 cm et qui
est pris avec un rapport de 1 mesurera 1 cm. Le rapport de reproduction
est souvent limité à 1 avec les objectifs macro classiques de bonne qualité
(micro Nikkor par exemple).
Le coefficient de correction de l'exposition :
Le coefficient de correction de l'exposition est le coefficient par lequel
on multiplie le temps de pause par rapport à une photo prise à l'infini. Ce
coefficient vient du fait que la taille de l'image produite par les
lentilles augmente, car on éloigne les lentilles de la pellicule pour
permettre de rendre nette les objets situés plus près. Tableau qui donne la profondeur de champ en mm pour les différents
diaphragmes et les différents rapports. Ce tableau est valable pour un
cercle de confucion de 0,033 mm (classique en 24 * 36). Au dela de f/16, la
diffraction est dommageable pour la qualité globale de l'image, donc je
n'ai pas calculé les valeurs. |Rapport de |Coef. de correction |f/5.6 |f/8 |f/11 |f/16 |
|reproduction. |de l'expo. | | | | |
|0,1 |x1,2 |40.7 |58.1 |79.9 |116.2 |
| | |mm |mm |mm |mm |
|0,2 |x1,4 |11.1 |15.8 |23.2 |29.0 mm|
| | |mm |mm |mm | |
|0,3 |x1,7 |5.3 mm|7.6 mm|10.5 |15.3 mm|
| | | | |mm | |
|0,4 |x2,0 |3.2 mm|4.6 mm|6.4 mm|9.2 mm |
|0,5 |x2,3 |2.2 mm|3.2 mm|4.4 mm|6.3 mm |
|0,6 |x2,6 |1.6 mm|2.3 mm|3.2 mm|4.7 mm |
|0,7 |x2,9 |1.3 mm|1.8 mm|2.5 mm|3.7 mm |
|0,8 |x3,2 |1.0 mm|1.5 mm|2.0 mm|3.0 mm |
|0,9 |x3,6 |0.87 |1.25 |1.7 mm|2.48 mm|
| | |mm |mm | | |
|1 |x4,0 |0.74 |1.06 |1.45 |2.11 mm|
| | |mm |mm |mm | | Conclusions
On peux rapidement dégager quelques conclusions de ce tableaux, qu'il
faudra toujours garder en mémoire pour faire de la macrophotographie :
- Pour doubler la profondeur de champ : il faut fermer le diaphragme de
deux crans.
- La profondeur de champ chute très vite avec l'agrandissement : Il vaut
parfois mieux faire une photo d'un peu plus loin pour voir la profondeur de
champ nécessaire que d'aller gâcher à coup sûr une photo. La macro à
distance, ça a aussi beaucoup de charme et ça fait plus intervenir les
talents de compositeur que d'équilibriste.
- La macro au rapport 1/1 dans la nature, c'est quelque chose de très
difficile. Il vaut mieux réserver ça pour le studio et les jours sans un
souffle de vent. Il faut savoir que au rapport 1/1, même en fermant le
diaphragme, la profondeur de champ n'excède pas le regard d'une mouche !
Conversion de focales Résumé : Vous trouverez dans cet article un tableau pour convertir
facilement les focales en fonction du format de prise de vue.
Ce tableau va vous permettre de convertir en une seconde toutes les focales
dans tous les formats. Il sera particulièrement utile lors de l'achat des
nouvelles focales en moyen ou grand format alors que l'on est habitué à la
prise de vue en 24x36. La conversion de focale est basée sur la diagonale
de l'image. Ainsi, l'angle de vue est le même sur toutes les diagonales
d'image de ce tableau, que ce soit pour les formats carrés ou pour les
formats rectangulaires.
|Format de prise de vue |Num * 1,5 |
|Si les émulsions photographiques se |[pic] |
|comportaient selon ce shéma, la | |
|densitométrie pourrait pratiquement | |
|prendre fin ici. En réalité, la | |
|proportionnalité de la progression | |
|des densités par rapport aux | |
|luminations est relative. La courbe | |
|caractéristique d'une émulsion | |
|présente en fait cette forme | |
|(conservons l'exemple d'un négatif) | |
La courbe ne démarre pas sur une valeur nulle car, même non exposé, un film
n'est pas entièrement transparent mais présente une légère densité ; c'est
le voile de base de l'émulsion. Ensuite, pour les plus faibles luminations,
la densité ne progresse pas et demeure identique à celle du voile de base.
Ce n'est qu'à partir d'un certain niveau de lumination que les halogénures
d'argent vont pouvoir être insolé. Ce point caractérise le seuil de
sensibilité de l'émulsion. Plus elle est sensible et plus rapidement
décollera la courbe. Ensuite la courbe progresse lentement. C'est le pied
de la courbe dont les caractéristiques permettent de juger comment un film
réagira dans les basses lumières. Puis la courbe progresse de façon
linéaire, la proportionnalité des densités aux luminations est ici
respectée. Cette zone correspondra aux valeurs moyennes de l'image. Arrivé
dans les ha