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Le Tenseur du Fascia Lata est le muscle antérieur du plan superficiel de la
région glutéale. .... L'examen clinique grâce à deux tests pourra affirmer le
diagnostic : .... un amortissement des contraintes verticales et permettre les
mouvements de ...
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DEUXIÈME PARTIE CE QUI SÉPARE, EN LES INTRIQUANT, RÉEL PERMANENT DE L'IMPERMANENT EXISTENTIEL
Introduction Nous avons essayé de présenter une disparité de réflexions qui nous
semble honnête pour introduire la présente partie. La science n'a rien d'un
dogme. Mais sa «prétention» de réduire au maximum la relativité des
jugements à son propos n'est pas mince. Par nécessité, la réflexion
scientifique doit se conformer à une sorte de code rationnel au sens où nos
civilisations occidentales l'ont exporté de par le monde, les réalisations
et prouesses techniques(technologiques en étant l'un des arguments de
justesse. Il est vrai que les jugements humains étant extrêmement
conditionnés par l'environnement (au mieux) ou (au pire) par des réflexions
immatures rejoignant vite fait le clinquant de la magie, il est toujours
possible de nier l'évidence au sens d'une logique relevant du bon sens
commun. Le dénigrement des sciences par le philosophe Friedrich Nietzsche,
en son temps, est demeuré dans la culture de la critique. La position
commune vis(à(vis de la Physique Noétique est, de ce point de vue,
exemplaire. Comment accepter ce qui ne tombe pas sous le «sens»? Par
exemple, la mesure physique d'une grandeur quelconque ne peut pas être
contestée si tous les réglages et étalonnage de l'appareil ont été
vérifiés. Mais si j'affirme qu'un «paramètre psychique» (fût(il une
«longueur d'onde» d'un rayonnement non physique) peut être mesuré par
esthésiemétrie (au sens de la Physique Noétique), qu'en dirait la
bienpensance scientifique? Mieux (ou pire!). Si j'affirme que la mesure
physique est une apparence, en dépit de la justesse de la mesure, mais que
la mesure esthésiemétrique est, seule réelle, je risque de devoir me
barricader pour ne pas être «abrupto» emmené à l'asile d'aliénés le plus
proche. La Physique Noétique a dû être bâtie, précisément, pour que la
carapace matérialiste cède sous la pertinence de l'invraisemblable et
qu'une révolution conceptuelle des aperçus de ce monde puisse s'ébaucher.
Est(ce vraiment indispensable? L'indispensabilité étant inversement
proportionnel à la réceptivité, ne nous faisons pas d'illusions. Seulement,
cette fois(ci, l'indispensable engage à la survie de l'espèce humaine.
Durant les quinze années où la Noétique a vu le jour, les signaux de
non(réceptivité ont été inflationnistes. Rien n'a changé. Sauf que les
corps subtils humains s'étant éteints, la survie de l'espèce humaine est
désormais comptée. J'y reviendrai en fin de troisième partie.
Cette deuxième partie va s'efforcer de faire la distinction entre
phénoménologie (ce que le sens lié à nos sens physiques perçoivent) et
noétique (ce que à quoi le sens commun est étranger mais pas Psyché! le
«domaine(ESPRIT» à son sens aussi exact que possible). La Physique Noétique
s'étant construite et étoffée progressivement, au rythme de l'élaboration
de mes ouvrages, plusieurs aperçus noétiques se sont
superposés. C'est pourquoi, j'en réexposerai en renvoyant pour détails
approfondis aux ouvrages concernés(*). Commençons par l'ouvrage noté 1, chapitre 2. A l'origine, la loi de matérialisation. Présente perpétuellement en
Physique Noétique, elle est exclue du matérialisme de la pensée physicienne
pour laquelle on ne saurait imaginer que le monde tel que nous le voyons
puisse être, ontologiquement, différent de ce qui nous apparaît : la loi de
l'intrication universelle Matière-Esprit a été parfaitement définie en
Physique Noétique et l'expérience EPR a été prolixe à ce sujet... mais
qu'est-ce qui fait que trente ans plus tard, le « physicien correct » ne
l'ait pas prise en compte ? Rappelons que le premier formalisateur
quantique, l'Allemand Max Planck (prix Nobel de physique en 1918), acquit
la même célébrité qu'Albert Einstein en formulant (1900) le premier la
quantification de la subatomicité par la formule célèbre [pic] (h étant la
constante (que le jeune Einstein « baptisa » de Planck) : l'énergie
quantique ne serait pas continue mais submicroscopiquement « granuleuse »
(c'est d'ailleurs à Einstein que revient la découverte, peu après, de la
photoélectricité). Chaque quantum d'action (énergie) est produit par un
photon sans masse (!) assorti d'une fréquence électromagnétique (. Dans ses
correspondances avec ce dernier, Planck ne tarissa pas de doutes sur son
propre énoncé, expliquant que les photons étaient émis lors de la mise sous
potentiel électrique et que, très peu de temps après, seul le phénomène
ondulatoire prévalut. Ce doute n'eut pas de suite, vu qu'aucun physicien
n'avait (probablement) songé, à cette époque, à éclaircir ce sujet
(justifié ou non ?). Isotropie non-divergente et disjonctivité (divergence, anisotropie) Nous désignons par disjonctivité la frontière entre phénoménal et
noétique signifiée par la célérité électromagnétique dans le vide.
Considérons un milieu isotrope, l'isotropie suggérant la nécessité d'une
inertie stationnaire. Nous raisonnons bien en phénoménal dans le domaine
relativiste où [pic]. Considérons, de plus, que ce milieu soit soumis à un
champ électrique [pic] produisant en son sein le champ électrique induit
[pic], ( étant la permittivité diélectrique du milieu. Si on admet que ce
champ E soit produit par une charge électrique quasi ponctuelle, il est
dans l'ordre des choses de distinguer cette « source-charge » quasi
ponctuelle du milieu environnant, le déploiement spatio-temporel phénoménal
autorisant cette distinction (même à des distances d'ordre quantiques) pour
préciser, nous supposons la limite phénoménale autorisée de l'ordre de
[pic] millimètre (par suite du temps de Planck, de l'ordre de [pic]
seconde). Admettons maintenant que l'énergie [pic] « se concentre » en des
zones (du milieu) où sa valeur maximum (où donc la célérité du photon
atteint [pic]), la permittivité du milieu stationnaire ( va croître
brusquement jusqu'à « proximité » de sa valeur « disjonctive » ([pic]) (du
fait que c ( devient infiniment proche de [pic]. Que se passe-t-il ? Pour
la valeur (, appelons [pic] le volume de confinement (infiniment ténu).
Lorsque ( croît, la valeur [pic] modifie zonalement le milieu en créant
deux volumes submicroscopiques jointifs [pic] et [pic] finis constitutifs
de [pic] dans lesquels l'intégrale de la divergence de l'induction
électrique fournit respectivement les valeurs de charge élémentaires
quantifiées [pic] et [pic] avec [pic] coulomb. En simplifiant avec deux
submicrovolumes jointifs [pic] et [pic], on peut suggérer qu'apparaît alors
dans cet état la quantification pseudo-matérielle photon, parfaitement
formulable par(D: induction électrique) : [pic] et [pic] (1) avec [pic]. Il convient de souligner que (1) formule des « situations »-
locales bien que inlocalisables en toute rigueur, de sorte que l'on peut
formuler une valeur moyenne de la divergence pour qu'elle reste nulle
statistiquement dans le milieu étendu par : [pic] (2)
Tout potentiel électrique V dérivant d'un champ électrique E par : [pic] et sa divergente : [pic] (3), [pic] étant la densité de charges électriques (e), la formulation de la loi
de Poisson s'écrit : [pic] (4) Cette loi suppose une distribution continue dans l'espace commun, mais,
expérimentalement, il n'en est rien au niveau subatomique voire atomique où
cette distribution se révèle discontinue (quantification). La loi de
Laplace n'y est alors plus vérifiée. Comment raisonner dans ce cas ?
Considérons un ensemble de surfaces équipotentielles. Ces aires sont
fermées sans point singulier (divergence nulle) mais en dehors d'elles, à
l'intérieur d'un volume quantique [pic] délimité par l'une d'elles, règnent
nécessairement des régions d'espace où [pic] (divergence). A partir de ce
constat, il convient de raisonner rationnellement sous la forme du postulat
suivant : aucun champ ne saurait acquérir une valeur localement infinie en
un point quelconque de l'espace. Par conséquent, pour parer à cette
impossibilité, suivant en cela un conformisme « législatif naturel » de
limitation, il existe dans un tel espace une (ou plusieurs) régions
submicroscopique(s) de dimensions finies où les champs induits ont des
divergences finies mais non nulles. Cette limitation impose donc pour le
champ qui ne peut pas croître indéfiniment une permittivité « sub » locale
limitée en valeur absolue à [pic] (permittivité disjonctive). Cette
hypothèse entraîne à deux conséquences que voici (avec [pic] perméabilité
magnétique du vide) :
. les équations de Maxwell permettent de calculer les relations entre
champs magnétiques et électriques. Ainsi, un champ d'excitation
magnétique pour [pic] d'espace s'exprime par : [pic] que l'on écrira à
la limite disjonctive par ;
[pic] (5)
avec [pic], [pic] étant le champ électrique disjonctif ;
. il apparaît la valeur disjonctive limite [pic] dans (5). Cette valeur
étant limite, conformément à ce qui a été énoncé plus haut, tout
dépassement de [pic] étant « interdit » (impossible) la divergence
[pic] prend une valeur tendant vers l'infini ;
. dans ce cas, dans la région où «