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Définissons l'opérateur nombre d'occupation projecteur de valeurs propres 0 et
.... Ils obéissent à la statistique de Bose-Einstein, le spineur unitaire étant une
fonction symétrique. ... Pour terminer, plaçons-nous dans l'espace de Hilbert. ......
être soumise à l'examen des charges {+ ; } du spin du neutrino accompagnateur
...
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DEUXIÈME PARTIE UNIFICATION ESPRIT(MATIÈRE
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LA GRANDE RÉVOLUTION CONCEPTUALISTE DU MONDE
Il était une fois... l'enchanteur Merlin Tous les contes de fées commencent ainsi. Lorsque les successeurs de
Galilée entreprirent de suivre la voie défrichée par le savant italien, un
air novateur souffla sur l'Europe de l'ouest: la ratio allait pouvoir
commencer à dominer la pensée magique de la cléricature religieuse. C'est
ainsi que la Physique traditionnelle s'imposa progressivement au cours des
siècles. Le grand Isaac Newton naquit l'année de la mort de Galilée (1642).
La relève était assurée. Le conte de fées fut relancé moins de trois
siècles plus tard, lorsque la recherche vers la microscopie révéla
l'invraisemblable qui eut des allures de métaphysique suspecte. La nouvelle
physique qui allait en naître s'appela mécanique quantique. Nous l'avons
maintes fois mentionné: à la fin des années 1970, le physicien français
Alain Aspect effectua une expérience à l'Institut national d'optique
d'Orsay laquelle alla bouleverser complètement ce qu'on pensait pouvoir
être à l'abri des maléfices d'une Belle au bois dormant. En clair, la Belle
se réveilla et indiqua au physicien de service que les constituants ultimes
de l'univers peuvent, sous certaines conditions, communiquer entre eux en
ignorant temps et espace qui les séparent à notre entendement. L'affaire
fit grand bruit. Certains physiciens, et non des moindres, se sont permis
de rendre grâce aux Sylphides en considérant l'Univers comme une
fantasmagorie d'essence spirituelle. Même si la plupart des savants dits
réalistes s'insurgèrent face à la «dérive», il fallut convenir qu'une
nouvelle brèche venait de s'ouvrir dans nos certitudes. La physique
quantique alla «sévir» et mettre l'autorité scientifique sous sa «coupe
réglée». Beaucoup évoquèrent l'immense révolution culturelle de la
Connaissance qui alla en découler. Et aujourd'hui? Où en sommes nous, un
siècle après le coup d'éclat de Max Planck?
J'ai terminé la première partie en montrant, modèle à l'appui, que
l'enchanteur merlin avait plus d'un tour dans son sac lorsqu'il parvient à
faire croire aux esprits physiciens les plus audacieux et éclairés de notre
époque que la théorie des boucles exprimant la gravité quantique (ce qui
est exact) simultanément, fait de notre incontournable espace(temps une
«mousse de spins» (à quand une marque publicitaire?) avec un nombre de
connexions dépassant les cent(cinquante chiffres et autant d'improbabilités
d'espérer un jour pouvoir les concrétiser par l'expérience! Où est
l'exactitude postulée? Un colosse aux pieds d'argile La physique quantique a pris les dimensions de la fécondité inhérente à
toute élaboration qui révolutionne les croyances les mieux établies. Les
fondateurs y ayant mis leurs talents féconds et multiples, en ont bâti un
édifice digne du plus grand respect que l'on doit au génie humain. Cet
édifice a reçu le nom de Théorie standard quantique. Elle est basée, cette
théorie, sur l'invariance de jauge due à la supposition que la masse du
photon est nulle. [Nous renvoyons en Annexe I pour les développements
concernant ce problème crucial].
Que la physique, depuis ses origines, ait eu la vocation exclusivement
matérialiste, s'explique... mieux! s'impose. Depuis près de deux
millénaires de superstitions dans la «logique magique» de l'humanité en
cours de son développement, il fallait le «coup d'arrêt» initialement
provoqué par Nicolas Copernic, Johannes Kepler puis Galilée. Lorsque la
mécanique quantique fut découverte, le branle(bas dans les esprits augustes
de la physique provoqua la stupéfaction; elle médusa les esprits les plus
fins qui voulurent bien y voir (à l'image d'Enrico Fermi) des miracles
porteurs d'espérance pour la Connaissance humaine. On sait ce qui en
résulta. Non sans raisons ni arguments, les «réalistes gardiens du temple»
l'emportèrent, ce qui fit que la «cité des mille et une nuits» éteignit
toutes ses lumières. Dans le souci légitime de bâtir du «solide» les
«quanticiens» élaborèrent la théorie de l'invariance de jauge.
Naturellement, la tentative de la grande unification accompagna celle(ci.
Mais les miracles estompés refirent des leurs: l'unification échoua. Elle
achoppa sur la force de gravitation. Ceci pour la Raison fondamentale que
les réalistes ne voulurent pas voir: la physique quantique a pour Essence
l'ESPRIT. C'est ce dernier qui se manifeste dans le «refus» d'unification
de la gravitation avec les trois autres forces de l'Univers: l'électroforte
(la cohésion des noyaux atomiques), l'électrofaible (radio(activité) et
l'électromagnétique. C'est pourquoi l'invariance de jauge est violée à deux
reprises.
Voyons(en la première reprise. L'explication est fournie dans l'Annexe I
(fin de l'ouvrage). Rappelons(là rapidement. Au sens courant, une jauge
désigne une capacité de contenant. En quantique, la jauge désigne la
capacité des modèles d'unification a représenter la totalité des lois du
Monde. Glorieuse prétention. S'il y a invariance de jauge, c'est que la
prétention a atteint le «Graal». Mais... qu'en est(il, en réalité? En
étudiant l'Annexe I, il a été clairement exposé qu'en théorie de fusion de
spin [(A40), (A41), (A42), (A43), (A45), (A47)] puis en Noétique(démiurge
(A57), (A58), l'invariance de jauge ne peut qu'être violée par suite de
l'apparition d'énergies négatives dans les modèles suscitant une masse
photonique non nulle (par (A39)).
Il est nécessaire de rappeler, opportunément, que le problème des
équations d'Einstein, à propos de la relativité générale ont fait resurgir
le même problème: celui de la distribution d'énergie(impulsion dans un
univers dimensionnel connu par le terme paradoxe d'Olbers. Dans l'hypothèse
homogène et l'infini et d'une constante de densité de matière et d'énergie,
[pic] est une constante dans tout l'espace (homogénéité), chaque élément
infinitésimal de volume [pic] ([pic] dimension linéaire) doit émettre un
rayonnement [pic] dans toutes les directions. Considérons, dans ce cas, un
observateur placé à une distance r de cet élément de volume donné: il
reçoit de la couche sphérique (de rayon r et de largeur dr), une énergie
[pic]. Or, cette énergie décroît (selon la loi newtonienne) par [pic] de
[pic], ce qui abaisse l'énergie à [pic]. En intégrant cette quantité sur r
de zéro à l'infini, on obtient une luminosité infinie dans le ciel
«cosmique». Pour parer à cette impossibilité, Einstein proposa une équation
du champ fournissant l'Univers fini et statique soit par la condition [pic]
dans son équation générale, soit par: [pic] Ce résultat «normal» sema le trouble dans les esprits avertis. En effet,
la constante cosmique K (nécessairement ajouté par Einstein) a été testée
pour [pic]! Pratiquement, cette constante devra donc être très faible et
négligeable dans notre système solaire. Or l'intégration de l'équation
précédente (par Karl Schwarzschild) fournit une métrique statique à
symétrie sphérique sans que l'on impose dans la métrique l'annulation des
exponentielles à l'infini. Une étude complète de ce problème complexe
fournit une équation linéaire pour un champ de gravitation faible par
l'expression simplifiée: ([pic]. Or, le terme G donne lieu dans l'approximation des champs faibles, à un
terme de la forme [pic] dans le premier membre de l'équation précédente. Et
ce terme, précisément, y viole l'invariance de jauge (deuxième reprise).
Finalement, nous retrouvons ce «vide» de l'invariance de jauge, au cours
de la solution S.O.U.L. du Tenseur Noétique dont l'application fournit le
terme ontologique de la gravité noétique(quantique de l'Univers et que je
redévelopperai à nouveau cours du présent ouvrage. La conceptualisation révolutionnaire improbative Auparavant... «La grande physique est comme la grande musique: elle
parle directement au c?ur et nous ouvre les yeux à la
beauté, à la profondeur, à la simplicité de la nature des
choses»
Carlo Rovelli (physicien) dans
«Par(delà le visible»( (Odile Jacob). Ce n'est pas pour retarder un «duel» improbable à coups d'hiéroglyphes
sur le tableau noir d'un amphithéâtre, comme je le connus naguère. Ce n'est
pas pour me recueillir avant d'aborder l'instant fatal où je devrai... [Je
laisse au lecteur le soin de transfigurer les points de suspension].
Qu'arrive(t(il au jeune échappé du théâtre d'ombres où, par nécessité
nourricière, la société des hommes le maintenait captif? Qu'arrive(t(il à
sa jeunesse lorsque son affranchissement compte bien récupérer les
dividendes qu'il a misés sur une impatience hennissante? Au fil des pages
qu'il m'arrivait de noircir naguère ( il y a très longtemps ( se produisit
en moi le double reflet d'une lumière où la magie du verbe n'accepta jamais
l'annexe, tout en imposant l'exigence de sa rigueur. Dans cette apparente
antinomie, je laissai toujours s'épancher la poésie lorsque les muses s'y
prêtèrent. Naturellement, ma soif de beauté musicale où le transfuge du
petit «rescapé» néerlandais (que je fus) vint s'abreuver goulûment dans
l'océan des grands poètes et écrivains français, ma boulimie des
valeureuses idées générales remuées au gré des non moins grands
phil