Vérité et synthèse : la fin des impostures

Disraeli écrivit aussi à la même page, au sujet de la révolution de 1848 qui
plongea ...... ou de participer à des concours aussi stupides que l'agrégation ou l'
ENA). ...... qu'il serait né en Angleterre et le même raisonnement s'applique aux
Juifs. ...... d'où des lois totalitaires et racistes qui interdisent à priori l'examen des
faits).

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VERITE ET SYNTHESE la fin des impostures de DOMMERGUE POLACCO DE MENASCE
Ce que des Juifs importants ont affirmé
au sujet des Juifs Ce que des Goyim célèbres ont confirmé Patrick 0618234987
« Tout finira par la canaille »
Nietzsche présentation de l'ouvrage Cet ouvrage poignant se présente, certes, comme un réquisitoire sans
concession de l'omniprésente « Question juive ». Après une telle lecture,
se pose la lancinante question, toujours la même : mais que peut-on faire ?
Et c'est là où l'auteur, un Juif en désaccord avec la judéopathie
mondialiste totalitaire, comme il se présente lui-même, se distingue en
proposant une solution d'une simplicité et d'une efficacité sans faille. Jusqu'alors, à chaque fois que la « Question juive » était soulevée,
l'objection majeure était la suivante : certes, cette question est une
réalité de toujours mais, après tout, concrètement, que peut-on faire ? Jusqu'à présent, la seule réponse enseignée par l'Histoire, c'est
l'Apartheid, pris dans le sens exact du terme, autrement dit le
développement séparé, une solution appliquée envers les communautés juives
au cours du Moyen Age et qui a pris fin avec la Révolution française,
d'ailleurs suscitée par la Juiverie, pour s'affranchir des cadres trop
restrictifs de l'Ancien régime. Le développement séparé n'est, au fond, qu'un empirisme créateur, que
chaque peuple réalise spontanément à travers son évolution historique en
prenant peu à peu conscience de son identité culturelle. Mais les
dirigeants de la secte des circoncis du 8ème jour prétendent que cette
solution équivaudrait pour eux à un génocide, ce qui est bien vu, pour
autant que l'on veuille constater la nature foncièrement spéculative et
parasitaire de la mentalité juive. Un tel constat conduit invariablement à l'inévitable autant qu'obligatoire
réponse : « Regardez où tout cela nous a menés : aux chambres à gaz... ».
Relevons, en passant et en toute objectivité, que les « chambres à gaz
homicides » relèvent de la plus grossière des propagandes de guerre, et que
la solution à la « Question juive » préconisée par le Troisième Reich était
justement le développement séparé avec, avant-guerre, un projet
d'implantation à Madagascar puis, pendant la guerre, une politique de
regroupement et d'implantation des communautés juives européennes dans les
Territoires de l'Est libérés de l'emprise soviétique, sans oublier la
collaboration de Hitler à l'implantation de Juifs en Palestine... Mais les dirigeants juifs ne veulent pas de telles solutions, car ils
savent bien qu'un développement séparé serait contraire à leurs intérêts.
Pour eux, l'idéal consiste à s'emparer d'une base territoriale - en
l'occurrence celle occupée par l'entité sioniste en Palestine - afin de
jouir des prérogatives d'un Etat souverain et de tous les avantages que
cela implique (trafic d'esclaves, chantage nucléaire, refuge pour les
criminels juifs, etc.), sans pour autant renoncer aux avantages de la
Diaspora, comprise comme une mainmise de droit divin sur les autres
nations. Alors, finalement, que faire, comment se défendre tout en respectant la
dignité humaine de chacun ? Et c'est là que la solution préconisée par
Roger D. Polacco de Ménasce pour résoudre la « Question juive », prend
toute sa valeur : paradoxalement, il ne faut rien faire, autrement dit, il
faut laisser faire la nature et ne pas intervenir par une mutilation
précoce, la circoncision rituelle du 8ème jour, qui va profondément
perturber le développement psychique de l'enfant juif et qui va
conditionner la mentalité de l'individu juif pendant toute sa vie. Quand de misérables nègres se livrent aux répugnantes pratiques rituelles
de l'excision sur de malheureuses fillettes, toutes les organisations bien-
pensantes de la planète montent aux barricades pour dénoncer ces coutumes
révoltantes et barbares. Dans la foulée, l'on voit des cohortes de « psy »
venir nous expliquer, en long et en large, pourquoi et comment ces
malheureuses fillettes vont souffrir de graves troubles physiques et
psychiques pendant toute leur vie. Mais, curieusement, personne, ou
presque, ne se pose la moindre question sur les conséquences de la
circoncision rituelle pratiquée selon les prescriptions du Talmud, une
pratique rituelle qui est à l'épicentre de la tragédie juive et la source
de l'antijudaïsme universel. Il existe pourtant nombre d'études scientifiques à ce sujet, généralement
méconnues, voire occultées, mais que Roger D. Polacco de Ménasce a reprises
et développées, pour en faire une synthèse magistrale, d'une part dans
l'ouvrage que nous avons le privilège de présenter ici, qui constitue en
quelque sorte une véritable anamnèse de cette pathologie de groupe et, en
complément, à travers les travaux disponibles sur le même sujet auprès de
l'Institut Dr. Alexis Carrel. Hélas, certains tabous dominants, indignes
d'une véritable culture scientifique, font que ces travaux ne sont connus
que d'une minuscule élite encore capable d'aborder objectivement, sans
haine et sans crainte, les problèmes vitaux pour l'avenir de notre
civilisation suscités par la « Question juive ». Souhaitons que chacun
puisse en tirer profit grâce à cette édition exclusive, réalisée
spécialement pour Internet. René-Louis BERCLAZ
veriteetjustice2004@yahoo.com
PREMIÈRE PARTIE
Ce que les Juifs ont dit d'eux-mêmes « Les rois du siècle où nous entrerons bientôt seront ceux qui sauront le
mieux s'emparer des richesses. Les fils d'Israël possèdent cette aptitude à
un degré qui n'a pas encore été égalé, et dans le mouvement général qui se
dessine partout contre eux, il faut voir des symptômes précurseurs des
luttes redoutables qu'il faudra mener contre eux pour se soustraire à leur
menaçante puissance ». GUSTAVE LE BON, fin du XIXème siècle Avant propos fondamental
Le mot antisémite ne signifie strictement rien. Un Juif n'est sémite que si les circonstances géographiques l'y
contraignent et cela au même titre que d'autres sémites. Un Juif, grand,
blond, aux yeux bleus, et dont la famille demeure depuis sept siècles en
Pologne, n'a rien de sémite. Un petit Juif râblé d'Amérique du Sud n'a rien
de commun avec ce Juif Polonais hormis un particularisme constant dans le
temps et l'espace dont ce livre traitera abondamment. Hormis les races blanche, noire, jaune et rouge, les races n'existent pas :
il n'existe que les ethnies qui sont le résultat de l'adaptation hormonale
à un environnement fixe, pendant au moins huit à dix siècles. Les Juifs
n'ont jamais séjourné mille ans dans un lieu géographique fixe, pas même en
Palestine : ils ne peuvent en aucun cas constituer une ethnie. Les traits caricaturaux qu'ils présentent souvent, comme leurs possibilités
spéculatives hors pair, mais privées de sens moral et d'esprit de synthèse,
comme nous le voyons à profusion dans l'actualité de ce siècle, et dans
l'Histoire, sont exclusivement dues aux effets de la circoncision au 8ème
jour, premier jour des vingt et un jours de la première puberté. Il n'y a donc pas de Goyim tel que des Soros, Warburg, Hammer, Marx ou
Freud
(finance, logique démâtée, rêve à système). On peut donc être « antijuif » pour des raisons évidentes prouvées par des
arguments implacables et des faits. Des Juifs célèbres les ont exposés. Des Goyim célèbres comme Benjamin
Franklin, qui voulait leur refuser la citoyenneté américaine, les ont
confirmés. Toute vérité concernant les Juifs est automatiquement taxée
« d'antisémitisme » et désormais punie par la loi, puisque les Juifs ont
fait promulguer des lois racistes « antiracistes » (crime de la pensée
selon Orwell) qui interdisent de divulguer leurs man?uvres, leurs actions,
leur importance monstrueuse dans les gouvernements occidentaux où, comme
par exemple aux Etats-Unis, ils dominent tout. Nous allons étudier dans ce livre les vérités exprimées par des Juifs très
célèbres et confirmées par de célèbres Goyim. A notre époque, une telle étude est confidentielle puisqu'en l'an 2000 il
ne subsiste aucune liberté d'expression, hormis celle accordée profusément
à la drogue, à la pornographie, à l'homosexualité, à l'avortement, à la
pilule pathogène et tératogène, à la chimification alimentaire et
pharmaceutique, à la pédophilie, à la destruction écologique et à l'horreur
économique en général... On me pose souvent la question : « Pourquoi, vous, Juif, choisissez-vous de
révéler la vérité qui ne peut que desservir votre "race" » ? Je réponds à cela que d'abord il ne s'agit pas de race mais de pathologie
extra dimensionnelle et que ce n'est pas parce qu'on a la peste que l'on
doit clamer que la peste est un critère de santé. De plus la symbiose de la perversité juive et de la connerie (il n'y a pas
d'autre mot) goy sont en train de mener le monde entier au néant, à sa fin. Je voudrais éviter, à la mesure de mes moyens, que ne se réalise cette
prédiction de Hitler dans Mein Kampf : « Si les Juifs avec leur profession
de foi marxiste prennent les rênes de l'humanité, alors la terre sera
privée de ses habitants et recommencera à tourner, seule dans l'éther comme
il y a des millions d'années. » Le texte qui suit : « Un rabbin plaide coupable », est d'une telle
importance que je l'ai volontairement mis au début de ce livre. Avec une
lucidité implacable, le rabbin Manfred Reifer fait un panorama magistral de
l'action nécrosante juive qui précédait Hitler, démythifiant ainsi la
diabolisation hitlérienne et mettant en évidence la diabolisation juive. Jamais un « antisémite » Goy n'a écrit avec une lucidité aussi implacable,
même pas Céline... Un rabbin plaide coupable
Ce document devenu introuvable a été détruit massivement par les Juifs. On comprendr