1) Évolution de la quantité d'ADN au cours de la méiose.

Le bras nord du cloître permet d'admirer la curieuse rose géométrique du ..... à
fronton et ailerons, corrigé au-dessus des bas-côtés par des rampants et des
volées .... de Lyon et conduit à la gare Saint-Gervais de la voie ferrée Laroche-
Autun.

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LA Procréation. (6semaines) La reproduction sexuée (méiose, fécondation) apparaît dès les eucaryotes
unicellulaires. Dans le groupe des vertébrés chez les mammifères
placentaires, elle se caractérise par l'acquisition de la viviparité.
1 Les Phénotypes sexuels chez la souris
Dissection et dessins légendés des appareils reproducteurs de souris.
|[pic] | |[pic] |
2 Du sexe génétique au sexe phénotypique
1 La différentiation sexuelle chez l'embryon
1 Stade phénotypique indifférencié page 270 Au cours de la première étape, il y a mise en place d'un appareil
génital indifférencié commune aux deux sexes présentant: 2 gonades indifférenciées 2 canaux de Muller 2 canaux de Wolff 1 sinus urogénital
2 Stade phénotypique différencié. page 270 |Homme |Femme |
|Différentiation des gonades en |Différentiation des gonades en |
|testicules (7ème semaine) |ovaires (8ème semaine) |
|Disparition des canaux de Muller |Disparition des canaux de Wolff |
|Transformation des canaux de Wolff en|Transformation des canaux de Muller |
|canaux déférents |en trompe utérine et utérus et vagin |
|Transformation du sinus urogénital en|Transformation du sinus urogénital en|
|vessie et urètre |vessie et urètre |
À partir de la 8ème semaine les organes externes se différencient (hors
programme)
Comment la différence de caryotype (sexe génétique) entraîne-t-elle la
différenciation sexuelle ?
2 Le contrôle de la différentiation sexuelle
1 La différentiation des gonades (Questions page 273) Sur le chromosome Y, au cours du développement
précoce, le gène Sry est activé et donne naissance à la protéine TDF,
signal de développement des gonades en testicules : acquisition du sexe
gonadique mâle. Sur le chromosome X, il n'y a pas de gène Sry. En absence de la protéine
TDF les glandes deviennent des ovaires : acquisition du sexe gonadique
femelle. SRY : un gène architecte.
2 Du sexe gonadique au sexe phénotypique différencié.
Simulation d'expériences avec le logiciel « detsex » La mise en place du sexe phénotypique mâle se fait sous l'action des
hormones testiculaires : la testostérone (cellules de Leydig) entraîne le développement des canaux
de Wolff en voies génitales mâles et la masculinisation des organes
génitaux externes l'hormone antimullerienne (cellules de Sertoli) provoque la dégénérescence
des canaux de Müller. L'absence de ces hormones aboutit à la mise en place du sexe phénotypique
feminin.
3 La puberté, achèvement du phénotype sexuel. page 276
1 Les transformations de la puberté. Début entre 8 et 13 ans pour la fille Transformations physiologiques, psychologiques et morphologiques (seins,
pilosité, règles) Début entre 10 et 14 ans pour le garçon Transformations physiologiques, psychologiques et morphologiques (voix,
taille des testicules et verge, musculature, pilosité)
2 Ces transformations sont induites par les hormones sexuelles (oestrogènes
et testostérone) L'acquisition de la fonctionnalité des appareils sexuels mâle et femelle et
des caractères sexuels secondaires se fait sous le contrôle des hormones
sexuelles (testostérone chez le mâle, oestrogènes chez la femelle). Conclusion du chap. : Chez les mammifères les structures et la
fonctionnalité des appareils sexuels mâle et femelle sont donc acquises en
quatre étapes au cours du développement : indifférencié, gonadique,
différencié, fonctionnel (puberté)
Comment le testicule permet la procréation ?
3 L'activité du testicule et sa régulation
1 L'activité testiculaire.
1 Le rôle des testicules
Observation microscope testicule normale et cryptorchidie Les testicules ont 2 rôles principaux : La production de spermatozoïdes (spermatogenèse), qui se fait de façon
continue de la puberté à la mort, par méiose à partir de cellules
germinales souches. Elle a lieu dans la paroi des tubes séminifères
constitué de cellules de Sertoli. La production de testostérone par les cellules interstitielles de Leydig. Les testicules produisent des spermatozoïdes (fonction exocrine) et de la
testostérone (fonction endocrine) de manière continue de la puberté jusqu'à
la fin de la vie. Un dysfonctionnement testiculaire : la cryptorchidie.
2 L'importance du taux de testostérone. (Page 297 Q. 3 et 2) La testostéronémie est globalement constante, mais sa
sécrétion se fait par pulses (quelques instants de sécrétion intense, puis
plusieurs heures pendant lesquelles l'hormone est graduellement éliminée. L'homéostat de la testostéronémie est nécessaire pour un bon fonctionnement
de l'appareil génital (érection, spermatogenèse...), mais aussi du
maintient des caractères sexuels secondaires. La testostérone agit sur le comportement sexuel, contrôle de la libido ou
de l'activité sexuelle saisonnière chez nombre de mammifères. L'homéostat de la testostéronémie est indispensable à la fonctionnalité de
l'appareil sexuel mâle.
Comment est contrôlé la testostéronémie ?
2 Le contrôle de la testostéronémie. Comparaison du contrôle de la glycémie et de la testostéronémie Transparent 1s glycémie |Paramètre réglé |Glycémie |Testostéronémie |
|Capteurs (valeur |Cellules pancréatiques |? |
|consigne) |alpha et bêta | |
|Messagers |Glucagon , insuline |? |
|Effecteurs |Cellules hépatiques |cellules de Leydig | 1 Le contrôle des testicules:le rôle de l'hypophyse . (page 299 ex 1,2 et 3 + es. Page 309) L'hypophyse est une glande située à
la base de l'encéphale elle sécrète deux hormones: LH et FSH. La LH stimule la sécrétion de testostérone par les cellules de Leydig. La
sécrétion de LH se fait par pulses ce qui entraîne la sécrétion pulsatile
de testostérone. La FSH stimule les cellules de Sertoli, qui sous l'action de la
testostérone permettent le bon déroulement de la spermatogenèse. La sécrétion de la FSH est aussi pulsatile. La sécrétion de testostérone ainsi que la production de spermatozoïdes sont
déterminées par la production continue des gonadostimulines hypophysaires
-FSH et LH- Comment est contrôlée la production de FSH et LH ?
2 Le contrôle de l'hypophyse : le rôle de l'hypothalamus. (page 301 ex 1 2 3) L'hypothalamus est une partie de l'encéphale située à
proximité de l'hypophyse. Certaines neurones de l'hypothalamus sécrètent de
façon pulsatile une neurohormone, la GnRH (gonadolibérine). Cette GnRH est
transportée par des capillaires jusqu'à l'hypophyse et stimule les cellules
hypophysaires sécrétrices de LH et FSH. Les sécrétion de FSH et LH sont induites par la sécrétion pulsatile de
GnRH, neurohormone hypothalamique. La GnRH est sécrétée sous l'influence de
stimulus d'origine interne (voir C) ou externe (voir exemple bélier).
Comment est contrôlée l'activité des neurones hypothalamiques ?
3 Le contrôle sur le système hypothalamo-hypophysaire. Certaines cellules de l'hypothalamus et de l'hypophyse possèdent des
récepteurs pour la testostérone, captent en permanence la testostéronémie. Le taux de testostérone effectue un contrôle sur l'hypothalamus et sur
l'hypophyse: (page 303 ex 1) Inhibition de la sécrétion de la LH (page 303 ex 2) Inhibition de la sécrétion de la GnRH (page 310 ex 5) La sécrétion de GnRH par les cellules de l'hypothalamus est
aussi influencée par des messages nerveux venant système nerveux central,
l'hypothalamus agit donc comme un centre intégrateur, recevant plusieurs
informations (hormonales et neuronales) et produisant une réponse (la
sécrétion de la GnRH). Bilan ou TP cas cliniques site biotic La testostéronémie est détectée en permanence par le complexe hypothalamo-
hypophysaire. La testostérone exerce sur ce complexe une rétroaction
négative : ainsi, la testostéronémie est constante. Bilan sur servomécanisme faire schéma. 4 Le fonctionnement de l'appareil reproducteur chez la femme. Comment peut-on expliquer le déclenchement régulier des règles ? Hypothèse : le fonctionnement des différents organes est synchronisé grâce
à une communication hormonale (parallèle avec l'homme).
1 I. Le fonctionnement des organes génitaux de la femme.
1 Fonctionnement cyclique des ovaires.
observation microscope ovaire utérus
2 Avant l'ovulation (phase folliculaire) Cette phase est marquée par le développement d'un follicule avec
l'augmentation du nombre et de l'activité des cellules folliculaires de la
granulosa et de la thèque interne. Cette phase conduit à l'ovulation et
prépare la fécondation.
3 Après l'ovulation (phase lutéinique ou lutéale) Cette phase est marquée par la transformation du follicule vide en corps
jaune, les cellules folliculaires se transforment en cellules lutéiniques à
la fin de cette phase le corps jaune dégénère. Cette phase prépare la
nidation. Le cycle ovarien est marqué par l'évolution cyclique des follicules
ovariens.
2 Fonctionnement cyclique de l'utérus.
1 En début de cycle : (au cours de la phase folliculaire). Le début du cycle utérin est marqué par l'arrivée des règles, suivie par
une phase de reconstitution de l'endomètre (muqueuse utérine).Vers la fin
de cette phase la glaire cervicale prend de caractéristiques favorisant le
passage des spermatozoïdes.
2 Dans la 2° partie du cycle : (au cours de la phase lutéale). L'endomètre continue à se développer, les glandes et les vaisseaux sanguins
se multiplient. Les glandes deviennent actives et sécrètent du glycogène.
L'utérus est prêt pour la nidation. Le cycle utérin se caractérise par des modifications structurales et
fonctionnelles permettant l'implantation de l'embryon.
3 Modifications cycliques de laglaire cervicale. La glaire s'éclaircie, devient alcaline et sa quantité