est aujourd'hui. Deux exemples d'actualisations des ... - Canalblog

Examen : 2H CM&TD. Ne demandera pas de calculer les fréquences ...
applicables aux théories de la représentation sociale. TD6 : Mémoires collectives
 ...

Part of the document


28.10.11 COHEN (1963) FESTINGER (1950) « When prophocy fails » (1956) Dissonance cognitive = Comment un individu va raisonner au quotidien,
comment il réagit face au déséquilibre de certaines situations ? Le déséquilibre est pensé comme dissonant entre deux éléments cognitifs,
pertinent l'un par rapport à l'autre < « Je n'aime pas le sport, mais je vais faire un jogging tous les
matins » Il y a dissonance lorsque deux éléments s'appliquent ensemble et l'un
applique la négation de l'autre. - Dans l'expérience de COHEN, tous les étudiants sont censé être en
dissonance = Tous en défaveur de la police - ils doivent écrire un
texte en faveur de celle-ci. Ce qui va faire varier la dissonance est
la rémunération = Incompatibilité qui n'est pas d'ordre logique mais
psychosociologique. < « Je n'aime pas le sport - je suis consonante, je n'en fais pas - Je
suis dissonante, je fais un jogging tous mes matins » La dissonance créé un état psychologique pénible qu'on va essayer de
justifier au maximum - réduire au maximum = on rentre en consonance. FESTINGER attribue à la dissonance le statut d'une motivation. - Réaction orientée d'approche - Evitement Jusqu'à disparition de cette tension. « La dissonance c'est comme la faim et la soif, c'est nécessaire » Résumé : - La présence de cognition dissonante dans l'univers cognitif d'un
individu est ressenti comme désagréable, psychologiquement
inconfortable. Ceci implique que ce qui est important ce sont plus les
conséquences de l'acte contre-attitudinale que l'acte lui-même. - Cet état de dissonance est un état motivationnel qui implique que
l'individu va être poussé à adopter des stratégies pour réduire d'une
façon ou d'une autre cette dissonance. - L'important du travail de réduction de la dissonance est proportionnel
à la quantité de dissonance ressenti (plus la dissonance est ressenti
comme élevée plus le travail cognitif va être important). - Dans la plupart des cas, le travail de réduction se traduit par un
changement d'attitude à l'égard de l'objet pour lequel l'individu est
en état de dissonance.
12.10.11
Formation d'impression - expérience ASCH 1946. S'inscrit dans la théorie de
la GESTALT. Les informations initiales qu'on a viennent colorer les
informations qu'on va avoir par la suite. L'impression se fait au fur & à
mesure de l'information disponible. Ce qu'on a déjà va servir de filtre à
tout ce qui apparaît de nouveaux. Les gens vont essayer d'organiser la
perception d'autrui de manière à lui donner de la cohérence. Toutes les
informations ne vont pas avoir le même poids. Pour ASCH, certains éléments
de la description de la personne vont avoir un statut spécial - joue un
rôle organisateur de l'impression générale = quand on se fait une
impression de quelqu'un, on ne fait pas la somme des 7 traits mais de leur
interaction. ASCH se rend compte qu'il y a des traits plus importants que
d'autres (généreux ou sociable). ASCH parle d'organisateur pour els traits
centraux (chaleureux ou froid). C'est à partir de ces traits qu'on va
appréhender les autres traits (? aussi les plus stables de la
personnalité) < Agencement spécifique de ces divers traits entre eux. Expérience « Claude » Hypothèse générale : Une personne prenant connaissance d'un caractère de
personnalité, d'un trait de caractère chez une autre personne, va mobiliser
un schéma correspondant à un ensemble de traits qu'elle associe
habituellement à ce premier trait saillant. Ce n'est pas directement un trait observé chez l'individu mais d'un
caractère (« Claude à du temps/ou non pour ses enfants »). Ce ne sont pas
les traits qui sont observés mais bien des comportements/attitudes prises
de positions ou caractères (âges, sexe, CSP, etc.) qui déclenchent une
inférence vers un trait. Ce premier trait va inférer un ensemble d'autres
traits. Conclusion : Traitement de l'information que l'on va recevoir à propos
d'autrui est structuré par des schémas conceptuel que sont les traits = il
y aura une sorte de système qui gérerait la perception d'autrui. Théorie implicite de la personnalité BRUNER & TAGIURI (1954)
Toutes ces théories sont fondées sur l'idée qu'il existe chez l'individu
quelque chose de stable & d'unique = la personnalité. BEAUVOIS implique 3
choses : - Répertoire de traits qui visent à la description psychologique de soi
& d'autrui. - Relation qui existerait dans ce répertoire entre certains traits
(certains vont ensemble soit des traits qui s'excluent) - Implique une structure sous-jacente des traits (cet organisation des
différents traits permet de définir de grands traits de la
personnalité). Les individus peuvent percevoir/interpréter les divers éléments de leur vie
quotidienne & vont pouvoir décrire les personnalités de leur entourage
ainsi que la leur. NB : stéréotypes de genre = catégorie spécifique des TIP. CASTRA (1995) = Lors d'un entretien, ce que l'on regarde en premier est
l'expérience ou la personnalité. Traits de personnalité = produit cognitif = pas description mais évaluative
- pondéré d'une valeur & d'une utilité. 1966 - FRAZER & FREEDMAN testent les premières expériences du « pied dans
la porte » classique sur des ménagères. - 2H de questionnaire - Experts passent après = 22% acceptent. Tentative avec « pied dans la porte » - Appel : Seulement 8 questions - On demande si les experts peuvent passer = 53% acceptent. < Sentiment de liberté : Plus facile d'accepter.
PLINER, HOST, KOHL, SAARI en 1974 - Campagne de don pour la recherche
contre le sida. - Témoin 46% donne en moyenne 0.58 dollars. - Frapper à la porte 74% donne en moyenne 0.98 dollars Implicite - URANOWITZ en 1975 Sur des ménagères : - Garder le sac pour aller chercher un billet d'un dollar (Faible
justification : 80%) - Garder le sac pour aller chercher un portefeuille perdu (Forte
justification = Faible liberté = 45%) - Contrôle = 35%
Théorie de l'engagement formalisée par KIESLER (en 1971) « L'engagement correspondrait aux liens qui existe entre l'individu et sas
actes » = Il n'y a que nos actes qui vont nous engager. BEAUVOIS & JOULE (environ 1980) - « La théorie de la soumission librement
consentie ». Conditions idéales pour que la théorie de l'engagement
fonctionne : - Coût de l'acte - Caractère irrévocable - Qu'il soit répété Quelle est la conception du sujet ? < C'est un acteur, selon FESTINGER, ce qui va être à l'origine de la
dissonance c'est la cognition en lien avec le comportement produit.
Dans les situations de soumission sans pression se sont des actes que
l'on fait produire par les individus = Les individus changent
d'attitudes et d'opinions. Le sujet dépend des situations sociales =
type d'engagement que contextuel.
02.11.11
Quel est l'objectif de l'auteur ?
Donner une description de l'expérimentation (objectif, hypothèse, VI, VD,
opérationnalisation & résultats).
Objectif : Mettre en évidence la modération du biais d'homogénéité du hors
groupe. Hypothèse : « Selon le critère induisant une relation symétrique, l'effet
d'homogénéité du hors groupe apparaisse et que, selon le critère induisant
une relation asymétrique, l'effet d'homogénéité du hors groupe apparaisse
chez les membres de haut statut, tout en étant contrecarré chez les membres
de moindre statut. » VI : Age (adulte & enfant) - Sexe (Masculin & féminin) VD : Différentes positions statutaires respectives Opérationnalisation : Un groupe d'enfant 7-8 ans & un groupe d'adultes de
37 ans en moyenne. 12 paires de photographies : photographies de visages et
photographies d'objets (représentaient des activités stéréotypiquement
masculines & féminines - chaque activité existait dans les deux versions
d'âge). < But : Reconstituer les paires observées auparavant. < Type d'erreurs : Erreurs commises à propos de son propre groupe
d'appartenance ou erreurs commises à propos du hors groupe
d'appartenance. Résultats : Conformes aux hypothèses. Les enfants ont commis plus d'erreurs
à propos du hors groupe de sexe qu'à propos de l'intragroupe sexe. Les
hommes ont commis plus d'erreurs à propos du hors groupe de sexe qu'à
propos du groupe d'appartenance alors que les femmes ont commis autant
d'erreurs à propos de leur propre groupe de sexe qu'à propos de leur hors
groupe de sexe = échec à l'effet d'homogénéité du hors groupe. Qu'est-ce que le biais d'homogénéité & comment est-il traité généralement ?
. Le biais d'homogénéité « correspond au fait que nous percevons comme
plus similaire entre eux (car on les connait moins bien, ils nous sont
moins familiers - 3ème paragraphe), les individus ne faisant pas
partie de nos groupes d'appartenance que les individus de nos propres
groupes d'appartenance. » paragraphe 2 - 2ème ligne . Il est traité généralement par l'opposition d'un groupe par rapport à
un autre groupe. (Opposer l'intra-groupe au hors groupe).
Sur quel champ théorique va s'appuyer A.C. DAFFLON ?
Champ théorique de la familiarité & la position statutaire d'un individu
par rapport à un autre/d'un groupe par rapport à un autre. Pourquoi utilise-t-elle le terme de biais dans certain cas & celui d'effet
dans d'autre ?
Le biais d'homogénéité apparaît que lorsque les deux groupes occupent