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... conseil ministériel restreint consacré à l'examen des mesures additionnelles.
..... the head of the committee, David Eugen of the Christian Democrats (CVP).
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Sources say... No. 7888 DG Communication Brussels, Wednesday, 21 September 2011, at
16:45
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U.K. BUDGET DEFICIT SOARS TO E 15.9 BILLION IN JUST ONE MONTH (AFP) - Le
déficit public continue de battre des records au Royaume-Uni, malgré un
plan d'austérité sans équivalent parmi les grands pays européens, ce qui
alimente les doutes sur la stratégie d'un gouvernement ayant beaucoup
misé sur le redressement des finances du pays. Selon des statistiques
officielles publiées mercredi, ce déficit a atteint 13,8 milliards de
livres (15,9 milliards d'euros) pour le seul mois d'août. Soit plus de
deux milliards supplémentaires par rapport à son niveau un an plus tôt,
avant la mise en oeuvre de coupes budgétaires draconiennes. Les
bibliothèques municipales ferment par centaines, les allocations sociales
diminuent et 110.000 emplois ont été supprimés pendant l'été dans le
secteur public. Mais les dépenses de l'Etat semblent à peine s'en
ressentir, malgré une légère baisse sur les cinq derniers mois cumulés.
Résultat : le gouvernement doit continuer d'emprunter à tour de bras pour
boucher les trous et la dette publique s'envole, tandis que la croissance
rétrécit comme peau de chagrin, à l'instar de ce qui se passe partout
ailleurs en Europe. DOOMED David Cameron a promis de contenir en
2011/2012 les emprunts publics du pays à 122 milliards de livres (soit un
déficit de 7,9% du PIB), contre près de 140 milliards l'année précédente.
Mais peu d'experts croient désormais que le but puisse être atteint. Une
récente étude du Financial Times, qui a reçu un large écho, évoquait un
"trou noir" de 12 milliards de livres (13,8 milliards d'euros) entre
l'objectif annuel affiché et le résultat probable. Le Royaume Uni
reviendrait alors quasiment à la case départ malgré les énormes efforts
consentis. La voie est donc de plus en plus étroite pour M. Cameron et
son ministre des Finances George Osborne, déjà accusés par l'opposition
travailliste d'avoir "tué la croissance" en imposant un régime trop
sévère au pays. Tous deux répondent qu'une remise en cause de la rigueur
serait immédiatement sanctionnée par les agences de notation, avec le
risque d'une descente aux enfers sur les marchés. NO PLAN B Il n'empêche
: les mauvais chiffres sur le déficit "vont relancer le débat sur
l'opportunité pour M. Osborne de changer de voie pour adopter un plan B",
estime l'économiste Philip Shaw, du cabinet Investec. D'autant que le
gouvernement ne peut plus se targuer, comme il l'a longtemps fait, du
soutien inconditionnel du FMI à sa politique d'austérité visant à renouer
avec l'équilibre budgétaire en 2016. A l'occasion d'une visite à Londres
au début du mois, la directrice générale du FMI Christine Lagarde a mis
en garde Osborne contre une application "trop rapide des politiques
d'assainissement budgétaire" au moment où l'économie mondiale traverse
une zone de fortes turbulences. Dans ses dernières prévisions de
croissance publiées mardi, le FMI a abaissé celles du Royaume-Uni à 1,1%
pour 2011, contre 1,6% pour le reste de la zone euro, pourtant fort mal
en point. C'est du côté de la Banque d'Angleterre que le gouvernement
pourrait, une fois de plus, trouver du réconfort. Selon le compte-rendu
de la dernière réunion de son Comité de politique monétaire,
l'institution envisage de nouvelles mesures de soutien monétaire. En
faisant fonctionner la planche à billets, elle pourrait déverser dès cet
automne des dizaines de milliards de livres dans l'économie britannique
pour tenter de la sortir de sa léthargie. (See Public Sector Finances
August 2011) FINANCE MINISTER URGES GREEKS TO PREPARE FOR EVEN MORE AUSTERITY (AFP) -
Le gouvernement grec planchait mercredi sur de nouvelles mesures
d'austérité exigées par ses créanciers dans l'espoir d'obtenir le
déblocage d'une nouvelle tranche d'aide, afin d'éviter un défaut de
paiement qui ébranlerait l'ensemble de la zone euro. "La Grèce est et
sera toujours un nembre de la zone euro", a assuré devant le Parlement le
ministre grec des Finances, Evangélos Vénizélos, avant le début d'un
conseil ministériel restreint consacré à l'examen des mesures
additionnelles. Envisageant de "nouvelles mesures nécessaires", Vénizélos
a affirmé que son gouvernement "allait faire tout ce qu'il faut, pour ne
pas mettre en danger le pays et sa place dans la zone euro". Le
gouvernement socialiste devrait principalement s'engager à réduire encore
les effectifs de son secteur public et à augmenter des impôts, selon les
analystes et la presse grecque. Objectif: convaincre la troïka à lui
verser une sixième tranche de huit milliards d'euros du prêt consenti en
mai 2010 au pays, faute de quoi, l'Etat grec risque de se retrouver en
cessation de paiement en octobre. "Nous négocions non seulement les
budgets de 2011 et 2012 mais l'ensemble du programme d'ajustement pour
2013 et 2014," a dit Vénizélos devant le Parlement mercredi matin pour
expliquer la longueur des discussions. Le flou régnait toutefois sur la
question de savoir si les annonces d'un tour de vis supplémentaire allait
être réalisées dans la journée, alors que les syndicats devaient se
réunir pour mettre au point leur riposte. PAYS TRIBUYTE TO THE TROIKA
Evangélos Vénizélos s'est félicité mercredi du contrôle exercé sur la
Grèce par la troïka de ses créanciers. "S'il n'y avait pas le contrôle de
la troïka" représentant les bailleurs de fonds du pays, "nous aurions de
nouveau un dérapage budgétaire", a lancé Vénizélos, pour justifier le
tour de vis supplémentaire préparé par son gouvernement sous pression des
créanciers du pays. Les défaillances grecques "ne sont pas un problème
d'intentions mais de capacité, d'habitudes, de structures (...)
heureusement que nous sommes sous contrôle car cela nous permet d'avoir
du self-control, et nous sauve", a ajouté ce rhétoricien réputé. EURO
ZONE CANNOT LET GREECE GO BUST Pour la zone euro, l'enjeu est en effet
colossal. Le sort de l'Italie, de l'Espagne, du Portugal et de l'Irlande,
pays aux finances publiques exsangues, est lié de toutes façons à la
manière dont sera traitée la Grèce, avancent économistes et analystes.
"La résolution du cas grec est déterminante", assure Cédric Thellier,
économiste chez Natixis. "Si on laisse la Grèce livrée à elle-même, on
envoie un signal aux investisseurs que quand il y a un problème en zone
euro c'est le défaut". Les spéculateurs pourraient ensuite "mettre la
pression sur d'autres pays comme le Portugal, l'Irlande, l'Espagne,
l'Italie", prévient-il. Or un défaut de l'Italie, troisième économie de
la zone euro, "signifierait l'éclatement de l'Union monétaire", affirme
l'économiste. Le Portugal a prévenu mardi qu'un défaut de paiement
d'Athènes l'obligerait à demander une nouvelle aide financière
internationale. GREEK PUBLIC, PRIVATE SECTOR WORKERS TO STRIKE OCT. 5, 19 (Reuters) -
Greece's two biggest labour unions will jointly stage 24-hour strikes on
Oct. 5 and Oct. 19 to protest new austerity measures which the government
is expected to agree with its international lenders to meet its fiscal
targets. "We will fight to the end, to topple this policy," Ilias
Iliopoulos, general Secretary of public sector union ADEDY, told Reuters
on Wednesday. "The troika (EU and IMF) and the government must go." ADEDY
had initially called a 24-hour strike for Oct. 6 but it brought the
walkout one day forward to coincide with the strike by private sector
union GSEE. ADEDY and GSEE represent about 2.5 million workers or half
the country's workforce. They have staged repeated strikes since the
country obtained last year a EU/IMF 110-billion euro bailout to avoid
bankruptcy. EU COMMISSION LAYS OUT PLAN TO HELP GREECE ACCESS EU FUNDS (dpa) - The
European Union's executive on Wednesday laid out a plan to fast-track
Greece's access to EU funding, as a way of helping the cash-strapped
country emerge from its economic crisis. About 15 billion euros (20.5
billion dollars) are still available from the EU's budget for 2007-2013
for Greece to spend on transport, environmental protection and pro-
business schemes, but Athens has been slow to tap into cash pot. EU
Regional Aid Commissioner Johannes Hahn said "some 100 projects to be
carried out before the end of this year" were discussed during a meeting
in Athens with Greek ministers and regional governors. "A final list of
major projects to be implemented by the end of this funding period will
be drawn up with the Greek authorities in the next ten days, with clear
deadlines for all projects and showing who has responsibility," Hahn said
in a statement. He also announced "a major drive to reduce bureaucratic
procedures," pointing to the Greek authorities' commitment to speed up
land expropriation procedures and simplify the issuing of environmental
permits. GREEK DEBT CRISIS : THE POSSIBLE SCENARIOS (AFP) - La palette des
options pour l'avenir de la Grèce commence à se resserrer, un défaut de
paiement, voire même une sortie de la zone euro étant de plus en plus
évoqués à mesure que le pays s'enfonce dans la crise de la dette. Tout
d'horizon des scénarios. - Défaut de paiement "ordonné" Il est de plus en
plus ouvertement évoqué dans certains pays, en Allemagne, Autriche ou
Pays-Bas. Un défaut de paiement signifie qu'un pays se déclare ou est
déclaré dans l'incapacité de rembourser tout ou partie de sa dette. Il
est dit "ordonné" lorsqu'il est négocié avec les créanciers et que ces
derniers ne sont pas mis dos au mur sans aucune compensation. L'Argentine
a fait défaut en 2001. Sa dette a été réduite de 75%. D'une certaine
façon, la Grèce se trouve déjà dans un cas de figure très proche depuis
le 21 juillet, lorsque la zone euro a décidé de faire contribuer le
secteur privé au deuxième plan de sauvetage du pays de près de 160
milliards d'euros. Les créanciers (banques et fonds d'investissement)