Nouvelles Énergies - Réseau Cicle

En D un moteur qui transmet à l'arbre de la pompe, avec un rendement de 0,9, ...
Nous proposant d'utiliser la dynamique restante du fluide de sortie après la
collecte .... et des innovations proposées, devront faire l'objet d'examens
particuliers. ... Richard E. Sontag, (professeur en génie mécanique, University of
Michigan), ...

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Nouvelles Énergies
Porteur du projet : Gérard Capdevielle - 21 Array dou Sou - 65000
Tarbes E-mail : gerard.capdevielle@club-internet.fr Tel 05 62 93 30 94
Ceci est un condensé des trois premiers chapitres concernant ce
procédé.
Outre la totale suppression des émissions industrielles de CO² d'origine
énergétique, la technique en question permettra une production énergétique
autonome et gratuite pouvant être embarquée ainsi qu'une nouvelle
mécanisation propulsive (terre air et mer).
Cette technologie propre permettra aussi l'alimentation électrique
individuelle.
Le rapport de la puissance au poids (kW/kg) de l'ensemble sera très
élevé.
Sont à souligner la totale fiabilité du système, avec un
fonctionnement indépendant des contraintes extérieures (atmosphériques ou
thermiques) ainsi que la nécessaire création ou réorganisation de
nombreuses industries
À terme, l'usage de cette technicité entraînera inéluctablement
et rapidement la disparition des énergies fossiles (y compris nucléaire) et
des productions, distributions ou utilisations énergétiques classiques au
bénéfice de nouvelles industries et de générateurs autonomes individuels
(tant sur le plan de la propulsion marine terrestre ou aérienne que sur
celui de la production électrique).
Vu la multitude d'applications à envisager (autonomie de diverses
propulsions et générateurs électriques individuels ou embarqués, traitement
des déchets en atmosphère close ....), ce document ne fait qu'exposer le
principe d'utilisation d'une source énergétique pléthorique, gratuite et
inemployée.
Il est à prévoir la fabrication massive d'engins nouveaux (terre, air
et mer), productions favorisées par la mise à disposition de nouvelles
techniques dérivées.
En vue de la miniaturisation du produit, un
approfondissement du brevet sera à réaliser dans les domaines de la
mécanique du solide, de la mécanique des fluides, de l'hydraulique et de
l'électrotechnique.
Vues les possibilités ahurissantes de la finalité de cette technique,
sans vouloir mettre en cause la qualité des scientifiques qui étudieront ce
projet et afin de ne pas en compromettre la clarté de la description, les
différentes variantes de ce procédé feront l'objet de plusieurs chapitres
dont l'envoi s'effectuera (selon votre demande) lorsque les précédentes
parties auront été totalement et parfaitement assimilées.
S'il y a donc problème ou question posée lors d'un message, veuillez
m'en faire part afin de lever tous les doutes avant la présentation
suivante.
Travail gracieux des forces
de pression et de gravitation
L'unique but de ce projet est donc l'obtention de ce qui est la base
même de tout ce qui se veut affranchir de la contrainte énergétique :
Rechercher une production d'énergie basée exclusivement sur l'utilisation
bénévole des seules possibilités énergétiques disponibles en tout temps et
en tous lieux : Les forces de pression et de gravitation.
Une dynamique gracieusement fournie pourrait en effet être obtenue par
le travail de ces composantes confrontées à une dépression constante. Principe de fonctionnement : Partant du
principe que l'augmentation de puissance sur l'arbre d'une pompe entraîne
l'accélération de sa rotation, donc, l'augmentation du débit, nous
utiliserons ce précepte afin de créer à la sortie une dynamique de fluide
qui pourra être ensuite utilisée à notre convenance. Proposons nous donc d'utiliser la dynamique hydraulique éjectée
par une pompe centrifuge alimentée par un moteur de 1 kW et par le
travail des forces de pression.
Soient figure 1
B
D
Figure 1 A A C
- En A une pompe centrifuge de rendement = 0,9
- En B un moteur de 1 kW entraînant cette pompe
- En C un dispositif permettant une collecte d'énergie captant le
dixième de la
puissance du fluide à l'éjection de la pompe.
- En D un moteur qui transmet à l'arbre de la pompe, avec un rendement
de 0,9, la puissance collectée par C.
Nous proposant d'utiliser la dynamique restante du fluide de sortie
après la collecte de C, étudions dans le tableau ci-dessous les variations
de la valeur des différentes puissances en fonction du temps avec :
- P' la puissance disponible sur l'arbre au temps T - 1
- Pe la puissance de l'éjection telle que Pe = 0,9 P
- Pc la puissance collectée en C telle que Pc = 0,1 Pe = 0,09 P
- Pt, le transfert de C vers D tel que Pt = 0,9 Pc = 0,09 Pe = 0,081 P
- P la puissance disponible sur l'arbre de la pompe = 1kW + transfert
de la Puissance collectée en C (chiffrée ci-dessus) à compter du temps T -
1
- P la puissance fournie par l'axe de la pompe soit P = 1 + P' + 0,081
P'
- Pu la puissance utile, puissance dynamique résiduelle à l'éjection
telle que :
Pu = Pe - Pc = 0,9 Pe = 0,81 P
Dressons le tableau de variation de ces valeurs
Temps P Pe=0,9P Pc=0,09P
Pt=0,081P Pu=0,81P
t 1 = 1 1 0,9 0,09
0,081 0,81
t 2 = 2 1,081 0,97 0,097
0,087 0,87
t 3 = 3 1,168 1,05 0,105
0,0946 0,955
t 4 = 4 1,2626 1,13634 0,113634
0,1022706 1,022706
t 5 = 5 1,364876 1,2283884 0,1228388
0,1105549 1,105549
t 6 = 6 1,475431 1,3278879 0,1327888
0,1195099 1,195099
t 7 = 7 1,594941 1,4354468 0,1435447
0,1291902 1,291902
t 8 = 8 1,724131 1,5517181 0,1551718
0,1396546 1,396546
t 9 = 9 1,863786 1,6774071 0,1677407
0,1509666 1,509666
t 10 = 10 2.0147526 1.8132773 0.1813277
0.16319496 1.6319496
Nous pouvons relever qu'au temps t = 10, nous disposerons en sortie d'une
puissance supérieure de 50% à la puissance initiale.
Quel fonctionnement peut précisément empêcher la progression de
ce système jusqu'au temps t = 256 où serait atteinte la puissance d'une
centrale nucléaire ?
Au vu de ces résultats et pour le cas précis de cette étude, nous
pouvons conclure que, lors d'un transfert énergétique s'effectuant de façon
proportionnelle sur l'axe moteur dans le sens sortie vers l'entrée, nous
sommes dans la logique de l'utilisation libre et gratuite d'une nouvelle
source d'énergie potentiellement disponible, qui permet l'utilisation du
cumul des contraintes d'aspiration créées par les forces de pression.
Peuvent alors se poser trois questions cruciales :
- Peut-il exister un impondérable qui puisse rendre impossible la
collecte en sortie d'une partie de la puissance du fluide en mouvement ?
- Peut-il y avoir obstacle à un ajout de puissance sur l'axe de la
pompe par transfert de l'énergie collectée ?
- Le processus proposé présente-t-il une faille quelconque (où?) qui
rendrait irréalisable l'utilisation de ce transfert ?
La réponse à ces trois interrogations étant négative, au vu de ces
résultats et pour le cas précis de cette étude, nous pouvons conclure que,
lors d'un transfert énergétique s'effectuant de façon proportionnelle sur
l'axe moteur dans le sens du prélèvement en sortie utilisé en motricité
d'entrée, nous sommes bien dans le cadre de l'exploitation gracieuse et
totale d'une source d'énergie disponible, en l'occurrence le cumul des
contraintes d'aspiration créées par les forces de pression.
Nous aurons donc à l'évidence une progression suivant la
représentation de la figure 2
Pu KW
.
10.8 .
3
10
. Figure 2 10²
.
10 .
1 .
T secondes
0 2
4 8 16 32 64 128
256
Ce gain en puissance est obtenu par l'action cumulée des forces de
gravitation et atteindra sa limite lorsqu'il y aura comblement de
l'équivalent de la dépression totale.
Cet exemple ne tient volontairement pas compte de la conception des
diverses machines qui, de par la diversité des utilisations et des
innovations proposées, devront faire l'objet d'examens particuliers.
L'archétype choisi est destiné à situer uniquement la partie
basique de la tec