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Pour une application donnée, vous avez le choix de réaliser un composite
constitué d'une matrice époxy pouvant être renforcée par des fibres continues ...

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Les traitements en médecine du sport
I - Les différents traitements utilisés Le repos sportif :
Il doit être compris par le sportif, il nécessite une connaissance
sportive. Les immobilisations :
Blocage par un appareillage du membre ou de la partie lésée.
Plâtre pour os car l'os est vivant et nécessite d'une restitution de l'os
dans l'axe.
Contre indication au plâtre : ?dème ou problème de retour veineux
(anticoagulant).
En médecine du sport, on évite le plâtre pour empêcher l'atrophie
musculaire ou de diminuer le tps de l'immobilisation.
Mise en charge permet une cicatrisation plus rapide.
Immobilisation jamais justifier sur des entorses car ligaments inertes. La chirurgie :
Chez le sportif, elle doit être décider rapidement et d'avoir une
reconstitution parfaite.
L'intérêt est qu'elle réduit le délai d'immobilisation. Traitements médicaux :
Per os (par la bouche) :
. anti-inflammatoires non stéroïdiens AINS (réduit l'?dème et le
gonflement, permet aux tissus de retrouver leur taille habituelle).
Contre indication aux AINS : risques d'ulcères. Ce n'est pas un
traitement spécifique curatif (n'agissent pas sur la cause mais sur
l'effet).
. Anti-douleurs (paracétamol, aspirine)
. Anti-douleurs composite : mélange d'anti-inflammatoires et d'anti-
douleurs
. Antalgiques majeures (morphine)
Chez le sportif, il faut éviter d'utiliser les anti-douleurs.
. Myorelaxants (baisse le tonus musculaire, diminue la vigilance) Locaux :
. Pommade AI : application sous forme de pansement occlusif
. Infiltration : injection intra articulaire ou proche d'un tendon d'AI
et d'anesthésiques (avantage : action très forte, augmente beaucoup la
concentration ; inconvénients : aiguille entraîne risques d'infection,
risque de fragilisation d'une structure anatomique par l'aiguille
(pas plus de 3 infiltration par site)
. Cryothérapie (froid) : effet antalgiques et vasoconstricteur II - La kinésithérapie : le traitement fonctionnel . Lutte contre la douleur, l'?dème
. Massages : techniques manuelles d'effleurages, de pressions glissées
superficielles, profondes et de pétrissages. Ils ont une visée
antalgique de décontracturant, ils luttent contre la rétraction
musculaire et cutanée. Affections chroniques (friboses, douleurs,
atrophie) ; MTP (massage transversaires profonds) : agit sur les
tendons.
. Physiothérapie : enveloppe toutes les thérapeutiques à caractère
physique. On distingue l'électrothérapie (application de courants
électriques) vibrations (application de champs magnétiques
vibratoire), les ondes, la chaleur et le froid. Les ultrasons
entraîne une défribose et améliorent la cicatrisation. Les
infrarouges augmentent la chaleur locale (hyperthermie locale),
décontracturant, relaxant. L'électrothérapie sert à transporter les
médicaments quand c'est des basses fréquences et sert à
l'électrostimulation quand c'est des moyennes fréquences.
. Proprioception : ensemble de mécanismes neuromusculaire à points de
départ périphériques permettant une juste réalisation des gestes et
des postures.
. Renforcement musculaire : travail destiné à augmenter la force
musculaire (travail isométrique à force constante).
. Balnéothérapie : utilisation de l'eau sous toutes ces formes à des
fins thérapeutiques. III - les contentions Strapping :
- contention par bandes adhésives
- limiter certains mouvements
- idéal pour reprise d'activité après entorse Attelles / orthèses :
- intérêt chez les gens peu sportif IV - Les médecines parallèles Ostéopathie : consiste en un ensemble de pratique médicale permettant de
diagnostiquer et de traiter manuellement les dysfonctions d'un patient par
restauration des mobilités tissulaires. Acupuncture : traitement énergétique Mésothérapie : mode d'administration transdermique des médicaments qui en
potentialise l'action V - Dispenses d'EPS BO n°39 du 17 novembre 1988 :
Quand il y a inaptitude, elle doit être justifiée par un certificat médical
qui précise si l'inaptitude est totale ou partielle et qui précise la durée
ne pouvant dépasser 1 an. BO n°38 du 26 octobre 1989 :
Si l'inaptitude est supérieure à 3 mois, un suivi particulier doit être
fait par le médecin de santé scolaire. BO n° 11 du 12 mars 1992 :
Lorsqu'il existe une dispense de longue durée celle-ci est valable pour
l'examen.
Si la dispense est de courte durée, ce sont les enseignants d'EPS qui
décide par rapport à l'examen.
Si les élèves sont considérés comme handicapés on doit aménager des
épreuves spécifiques aux examens.