Université de Nantes - Daniel Calin

Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (DSCG) ... de demander le
diplôme (DCG ou DSCG) par la voie de le VAE ou par le biais d'une présentation
aux épreuves ponctuelles de l'examen. ... UE12 : Anglais appliqué aux affaires.

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Université de Nantes Master 2 Sciences de
l'éducation UFR Lettres & langage et de la
formation A l'école des AVS Accompagner les processus d'inclusion des élèves handicapés ?
Année universitaire 2009-2010
Mémoire dirigé par Yves Dutercq Guillaume Bourget
Au terme d'un tel investissement (car s'il n'y a pas occupation d'un
emploi, quel travail !), il y a beaucoup de personnes que je souhaite
remercier chaleureusement. Toutes ont contribué d'une manière ou d'une
autre à ce que ce travail soit possible. Je remercie ainsi d'abord Mélanie et Gabriel. Egalement mon papa Guy,
ma maman Elisabeth et Alain et Maryvonne pour leur présence durant ces deux
années, qui ont été à plusieurs égards bien difficiles - mais elles sont
derrière nous désormais. Je ne peux pas non plus ne pas dédier ce travail à
Julien et Marguerite, desquels je pense je tiens une disposition fortement
ancrée qui est de toujours porter attention ailleurs que là où on nous
somme de regarder - qui que soit ce « on » - et qui relève aussi d'une
forme de conscience de classe. Je remercie ensuite vivement toutes les personnes, AVS et EVS et
anciens AVS et EVS de l'UNAISSE : sans cette aventure collective ce travail
n'aurait jamais existé. Toute ma démarche de recherche s'inscrit en plein
dans le cadre du travail que nous avons fourni (et fournissons encore)
ensemble, qui est littéralement la condition de son existence, et qui fait
que ce mémoire est largement collectif. Je le dédie ainsi également à mes
copines( Mona, Mimi, Renée, Justine, Séverine, Véronique, Marianne, Cyril,
Eudeline, Dominique, Françoise, Anne, Cécile, Suzy, Frédéric, Marie-
Christine et Nicole, et tous les adhérents qui soutiennent et participent à
l'existence et au quotidien de cette association, née pour parer à
l'individualisation forcée du rapport au poste d'AVS. Au-delà des collègues
et amies, j'envoie un franc salut à tous les AVS, enfants/élèves, parents
et enseignants - et en particulier ceux avec lesquels j'ai travaillé. Je
n'oublie notamment pas (et n'oublierai pas) Sylvie, Sylvie, Sophie, Anne et
Jordan, Armelle et Audric - et toute l'école de la Ronde à Plessé où j'ai
beaucoup appris, et où nous avons tous ensemble vraiment bien bossé. Il y a
aussi Laurence et Anna, Nathaëlle, Laurence, Stéphanie, Maryvonne et
Nolwenn - et l'école Jacques Prévert à Saffré ; Patricia et Augustin,
Isabelle et Alexis, Nathalie et Pauline, Martin et Marie-Odile, Dominique
et Valentin. J'ai beaucoup appris au contact de ces enseignantes et élèves
- et des parents de ces derniers. Rien n'aurait été possible sans Olivier, Céline, Isabelle, Laetitia,
Nathalie et Sandrine : à tous j'envoie un clin d'?il amical. Tout aurait
été plus difficile sans Gilles Paumier, Marie-Christine Philbert, Benoît
Hauray et Patrice Fondain (que je salue chaleureusement). Merci également à
Madame Jeannine Mage, Madame Nicole Hornung et Monsieur Patrice Lagisquet. Je remercie aussi vivement Yves Dutercq pour les conseils qu'il a su
me prodiguer - et sa patience face à certaines de mes dispositions qui ne
lui ont pas rendu sa tâche de directeur de mémoire toujours très facile. Je
souhaite aussi remercier particulièrement Francine Muel-Dreyfus, Eric
Plaisance, Charles Gardou, Philippe Mazereau, Henri Jacques Stiker, Daniel
Calin et Pascal Ourghanlian - et si je n'ai pas échangé avec chacun d'entre
eux de manière égale, tous ont contribué et contribuent à diffuser d'une
belle manière ce bien commun qu'est le savoir. Je remercie pour finir ceux qui dans le passé ont lutté pour que soit
permis le fait que je puisse être indemnisé par la collectivité lors de ma
reprise d'étude. Sans eux, pas de formation pour moi, ni de mémoire, et
rien de ce travail n'existerait. Je reste aux côtés de ceux qui travaillent
à leur suite, face à la violence inouïe de l'actuel exercice du pouvoir
envers tous ceux qu'il ne reconnaît pas.
« Les livres devraient toujours être lus avec le même
soin qui a été mis pour les écrire ».
Henri-David Thoreau, Walden or life in the
woods, 1859. « En s'attachant à reconstruire les traits
structurels que les institutions - et les postes -
doivent à leur histoire, on fait de l'histoire un
instrument de défense contre l'effet d'imposition
idéologique exercé par les institutions qui tendent
toujours à imposer leur version de l'histoire ».
Francine Muel-Dreyfus (1983) Le métier
d'éducateur Paris : éditions de Minuit. « Le problème du passage de la connaissance à
l'action est probablement celui sur lequel Bourdieu
et moi avons eu les discussions les plus fréquentes
et les plus longues au cours des vingts dernières
années. Dans les Méditations pascaliennes, il parle
du fait que « les obstacles à la compréhension,
surtout peut-être quand il s'agit de choses sociales,
se situent moins, comme l'observe Wittgenstein, du
côté de l'entendement que du côté de la volonté »
[MP, p.17]. Il avait sûrement raison de penser que,
en matière sociale, la volonté de ne pas savoir est
une chose plus réelle que jamais [...]. Mais il ne
faut pas seulement vouloir savoir, il faut aussi
vouloir tirer des conclusions de ce que l'on sait et,
quand les conclusions à tirer sont des conclusions
pratiques, on entre dans un domaine sur lequel
l'intellect n'a malheureusement plus guère de prise
et qu'on ne maîtrise pas mieux aujourd'hui
qu'autrefois. »
Jacques Bouveresse (2003) Bourdieu, savant et
politique. Marseille : Agone. p. 36
« Ma s?ur Patschi me fixa exactement de la même
manière que mes frères et s?urs et moi l'avions fixée
des centaines et des centaines de fois, comme on fixe
quelqu'un qui a un petit vélo dans la tête. Je me
demandai pour la première fois si la lecture,
l'écriture et la connaissance des auteurs classiques
comptaient vraiment parmi les choses essentielles de
la vie ».
Peter Berger (1988), La maison rouge, Paris :
L'école des loisirs, p.94. Première édition :
1966.
Sommaire
Introduction 1.
Présentation............................................................
................................................ p.4 2.
Méthodologie...............................................................
................ p.10
Des lectures
herméneutiques..............................................................
....... p.11
Des entretiens avec six AVS-
i...................................................................
p.11
2.3 La question de la
réflexivité.....................................................
p.16
2.4 Décrire les origines : l'entrée
sociohistorique...........................................
p.25
2.5 Les AVS-i et le cadre de leur existence : de l'histoire aux
notions........... p.29 3. Présentation des AVS-i interrogés : texte et
contexte............................................ p.30 3.1 Territoires et pratiques
éducatives..........................................................
.... p.30
3.2 Milieu
rural ?.............................................................
................................ p.33
3.3 Les AVS-i interrogés : situation dans l'espace social des
positions.......... p.36 4. Les mots et notions autour du
handicap...............................................................
.. p.55
Chapitre 1 : Un siècle d'éducation séparée. Une histoire des relations
entre éducations scolaire et spéciale 1880-2005
1. Genèse et constitution du champ du spécial : 1880-
1940............................... p.62
1. La genèse de l'éducation et de l'enseignement
spécial, 1880-
1909 ..................................................................
.................. p.62
1.1.2 Ecole